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Page 3 sur 7Précédent 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 Suivant[artistes] mobilisation contre la Licence

Le Libre soulève de nombreuses questions, notamment sur la vente liée, les verrous numériques, les libertés numériques.., Parlons-en avec écoute et respect de l'autre.

Ven 23 Déc, 2005 12:48

alors :
certains artistes (des employés des majors ou de gros gros labels) sont pour le durcissement de la protection des droits d'auteur
certains artistes (les 13500 qui ont signé une déclaration en ce sens d'après la spedidam, mais qui souhaitent rester anonymes) sont pour la licence globale
et d'autres (comme moi) sont opposés au deux positions
J'avais craint que le débat au parlement dérive vers une opposition entre le DASVI (version dure) et la licence globale
gagné


en réalité
on doit comprendre que le monde de la création musicale ne présente aucune homogénéité (comme je l'expliquais il y a un an dans mon texte sur la dissémination, ch. 1,
http://www.another-record.com/textes/dissemination/diss3.html
)
Il existe une multiplicité de mondes de la musique, mus par dess intérêts différents, des éthiques et des esthétiques différentes, touchant des publics parfois très large, parfois des "niches" comme disent les économistes. Il y a des marges, des outsiders, mais aussi des blockbusters qui sont audibles par la quasi totalité des habitants de cette planète : et entre les deux, une infinité de monde.
Bref

On ne pourra pas satisfaire tout le monde. Faisant partie des marges, des outsiders, mon intérêt aurait été que les choses restent en l'état, qu'on puisse continuer à oeuvrer sur internet comme nous le faisions ces dernières années (ce qui nous a permis de fonder des réseaux, des labels, des audioblogs, des webradios alternatifs, etc..)
malheureusement, internet va changer en profondeur à l'issue de ce projet de loi, et probablement en pénalisant les outsiders et les marges.
Mais d'autres intérêts seront satisfaits.

Let it be.
dana

Messages : 251
Géo : uzbekistan

Ven 23 Déc, 2005 13:17

D'abord, il faudrait être clair sur ce qui a été voté et les conséquences : on entend tous les sons de cloches ce matin, et même si j'ai suivi le débat de l'assemblée en direct, je ne suis pas certain d'avoir tout compris, le débat n'étant pas terminé.
En plus, revenir sur l'amendement voté, là, j'allucine : le principe de l'Assemblée Nationale démocratique c'est de voter une loi et si elle n'est pas votée selon le goût du ministre, de la remettre au vote jusqu'à ce qu'elle soit adoptée conformément aux souhaits du ministre ? J'avais une autre conception de la démocratie... Je propose donc de revoter les lois sur les droits d'auteurs datant de 19xx ! :D

Ensuite, c'est évident, les majors vont s'appuyer sur la popularité de leurs artistes pour leur faire dire ce qui les arrange, et faire pression sur le gouvernement. Les majors dépensent de l'argent non pas pour la création/diffusion d'un artiste, mais pour des actions marketing autour de l'artiste. Une fois qu'il est populaire, un minimum d'investissement suffit à faire rentrer des pepettes, et le système s'auto-alimente. Elles ont donc peur (comme tout commerçant ?) de la vente directe : si les artistes pouvait se passer de leurs services, plus de Pascal Nègre... Le projet de loi DADVSI permet de lier la musique et les droits qui y sont liés, les majors restent maîtres de leur poulains... La licence globale, c'est peut-être permettre à n'importe quel auteur de créer sa propre maison de production, d'être indépendant, et de ne plus avoir besoin de Pascal Nègre, et de toucher en direct les pepettes. Et donc peut-être au final de mieux maitriser ce qu'il fait, de ne plus se voir imposer la nécessité de créer "sous pression" (Fait un tube qui marche !), de gagner plus en tant qu'auteur compositeur interprète, de choisir librement le budget qu'il veut consacrer à ses clips, etc... Mais ce n'est que mon avis et je rêve peut-être...

Il faut donc entrer en contact avec les artistes, et leur expliquer ce qui se passe, leur parler musique libre, logiciels libres, etc... Je ne crois pas que Sardou et Souchon soient réellement au courant de ce qu'est un logiciel libre, une licence libre, une musique libre... Souchon sous Linux ? :D

Je pense qu'une action d'explication, comme celle qu'à faite Christian PAUL au sénat, avec des baladeurs permettrait de faire comprendre les problèmes actuels, et la nécessité de trouver des solutions.

Plus généralement, le rêve, ce serait qu'un artiste connu diffuse son prochain album (ou un morceau) sous licence libre... Douce utopie...
dubdub

Messages : 870

Ven 23 Déc, 2005 13:23

Renaud (l'artiste), n'est pas connu ?
Parce que lui il serait certainement pour, étant donné qu'il a mis toute son "oeuvre" en ligne pour un de ses fans, contre les recommandation (et mises en garde) de sa maison de dixe :D

Reste un problème, le renflouer... je veux dire, c'est un peu une épave là... donc euh... hum
Stabbquadd

Messages : 245
Géo : Castres

Ven 23 Déc, 2005 13:33

Concernant la licence globale : ceux qui la critiquent me semble très étriqués dans leurs idées d'une telle licence.

Imaginez qu'avec l'argent récupéré, le ministère de la culture puisse créer un nouvel équivalent de la SACEM, qui enregistrerait tout nouvel artiste, avec ses compositions.

Imaginez en plus que ce nouvel organisme gère un site web national, pour les utilisateurs qui adhèrent à la licence globale en la payant, qui verrait toutes les compositions des artistes. Ce site web permettrait d'écouter en basse qualité, par ex., une partie de tout morceau, et dès qu'un choix est fait, de le télécharger : +1 pour l'artiste de l'oeuvre dans la redistribution des droits. Evidemment ce site serait payé par une partie des droits mensuels de la licence, par ex.

Le tout combiné avec les Majors qui seraient dans l'obligation, rapidement, sous peine de voir leurs profits fondre, de créer le même type de site avec leurs artistes, gérant un abonnement de téléchargement illimité mensuel sur leurs oeuvres, on aurait peut-être une solution globale intéressante?

Tout ceci évidemment, je me répète, serait la carotte, le bâton étant toujours à améliorer derrière pour ceux qui essaieraient de tricher via le peer to peer.

Ce concept serait de plus applicable à la vidéo, aux jeux, aux livres?
Blbird

Messages : 26

Ven 23 Déc, 2005 13:34

dana a écrit:alors :
on doit comprendre que le monde de la création musicale ne présente aucune homogénéité (comme je l'expliquais il y a un an dans mon texte sur la dissémination, ch. 1, http://www.another-record.com/textes/dissemination/diss3.html)
Il existe une multiplicité de mondes de la musique, mus par dess intérêts différents, des éthiques et des esthétiques différentes, touchant des publics parfois très large, parfois des "niches" comme disent les économistes. Il y a des marges, des outsiders, mais aussi des blockbusters qui sont audibles par la quasi totalité des

bien d'accodac avec toi, idem sur la licence globale, moi pas d'accord non plus, mais bon, moindre mal peut-être, à voir..

On ne pourra pas satisfaire tout le monde. Faisant partie des marges, des outsiders, mon intérêt aurait été que les choses restent en l'état, qu'on puisse continuer à oeuvrer sur internet comme nous le faisions ces dernières années (ce qui nous a permis de fonder des réseaux, des labels, des audioblogs, des webradios alternatifs, etc..)
malheureusement, internet va changer en profondeur à l'issue de ce projet de loi, et probablement en pénalisant les outsiders et les marges.
Mais d'autres intérêts seront satisfaits.

modif d'internet en profondeur, bien d'accord aussi. Je re-cite l'exemple de JazzValley.com, des milliers de connexions/jour,
la plus grande base jamais réalisée sur le Jazz (un artiste, quelconque, tu avais ses disques, là où il s'était produit, là où il allait
jouer, avec qui, etc...), tout les labels étaient représentés (et dans le monde du Jazz, on en a des très petits), pas de pub. pour tel
ou tel revendeur online particulier, objectivité et indépendance, le tout alimenter par une équipe de ... 3 personnes !
Ce site a fait fureur dans le monde des amateurs de Jazz, et il était rentable à terme. Il a été fermé faute de fond, laché
par les investisseurs. Alors, perso, je me suis toujours demandé à qui ces mêmes investisseurs avaient vendu leur âme.
Parce que JazzValley, ça profitait plus au petit label qu'au gros, y'a pas photo. J'ai moi même acheter plusieurs CD directos
au producteur (ex. Pierre Coulon Cerisier, "Bleu comme le ciel", zimpro.org, plusieurs fois cité et auditionné sur France Musique ...)
Le moteur JazzValley était adaptable à la musique contemporaine, comme à l'alternative, l'électro, etc...
Le principe était du webauthoring avec un moteur d'IA derrière, c'était les artistes et les salles de concerts elles mêmes qui
enrichissaient la base. Et le site était merveilleux, un vrai dico à lui tout seul, une très belle réussite tant technique que du contenu
et du succès. Alors le créateur du site, V. Zamouline, est parti .... dans le tourisme ! Dommage, ça a été une grosse perte, en
tout cas pour le Jazz. Et Zamouline ne faisait pas dans le libre, n'ayant pas trouvé acheteur, tout est mort.
Alors il faut comparer tout ça aux chiffres, le Jazz, c'est combien d'amateurs dans le monde ? Paris, NewYork, un peu
Londres et Berlin, qques autres villes élues, basta. Allez, soyons généreux, 200 à 300 000 clients, ça fait pas le compte.
(mes chiffres sont totalement empiriques, à vérifier, mais je pense pas être loin du compte).
Avec des sites comme Jazzvalley, tu ramenais du monde, et donc piquait la part du gateau à d'autres. Jazzvalley organisait
des concerts, et quand tu discutais au New Morning avec les spectateurs, certains venaient écouter du Jazz pour la 1ere
fois de leur vie. Bref, bcp à dire sur la question. En tous cas, si un chanteur compte bouffer autrement que par des concerts,
qu'il me le dise, il s'est trompé de métier. Le disque à mon sens est un support, pas un objectif. Souchon, Cabrel, Chamfort et Cie
peuvent se rhabiller, faites des concerts les gars, sortez de vos "ah mais je ne passe qu'à l'Olympia moi Monsieur", et considérez
votre public autrement que comme une vache à lait de supermarché. D'accord avec toi, ces types là ne sont plus que des produits
à fabriquer du CD, par des créateurs (est-ce que Souchon daigne encore écrire ses chansons ? Si oui, mince, il devrait être heureux
d'être lu et entendu non ? C'était pas ça son objectif au départ, que ses paroles soient entendues par le + grd nombre ?)
Ou alors qu'ils renégocient leur contrat à leur avantage, pas à celui des Majors comme c'est le cas. Combien touche un artiste
sur un CD ? Et la prod, les musiciens, combien pour leur part ? Quedalle.
Z'ont pété les plombs ces mecs là, ils nous vendraient notre liberté pour leurs petites affaires, profondément triste, ils peuvent
crever, y'a pas, Qu'ils se battent dans leur cour, celles de leur contrat pourri avec leur gourous protecteurs, s'ils sont victimes,
c'est bien d'avoir accepté de telles conditions de production et de travail, Godard qui crève la dalle et ne peut réaliser de nouveaux films,
c'est pas abhérant ça ? Allez faire un tour rayon "Nouvelle Vague" dans les bacs, du Godard en veux tu en voilà.
Aucun droit sur ses propres films, rien ou quasiment sur la vente des DVD, elle défend qui cette loi déjà ???
++
v/
vslash

Messages : 110

Ven 23 Déc, 2005 15:05

3 : Comment faire la différence entre les artistes et les petits malins voulant juste gruger le systeme?
Il faudrait, pour etre remunerable, etre inscrit à un organisme identifiée type SACEM/SPEDIDAM/etc...


Mais pourquoi vouloir inscrire encore et toujours !!!??? Ca me fait penser à ces journalistes qui veulent à tout prix mettre des étiquettes sur les productions. D'où tous ces noms barbares qui servent à qualifier des courants musicaux... Ca fait plus de 10 ans que je me bats pour ne pas être inscrit à la SACEM et, là je devrais céder ? Cette licence globale ne profitera pas aux artistes libres car la redistribution se fera à n'en pas douter suivant les critères de la SACEM. Il est de toutes façons aberrant de devoir payer une sorte d'abonnement. Si je paye pour de la musique, j'aime que cela aille directement à l'artiste et pas à tout venant, sachant que cela sera surement taxé (un impôt en plus...) et qu'il y a une chance sur mille et encore pour que l'artiste que j'apprécie touche 1ct là-dessus.
Quant aux petits malins, le fait d'être à la SACEM n'arrange pas les choses. Ce n'est pas une généralité, mais je connais nombre de "petits malins" qui profitent de la SACEM et qui n'ont jamais rien produit ou alors une ou deux chansons jamais diffusées. Ca ne les empêche de me parler des petits profits auxquels ils ont droit annuellement.


Imaginez qu'avec l'argent récupéré, le ministère de la culture puisse créer un nouvel équivalent de la SACEM, qui enregistrerait tout nouvel artiste, avec ses compositions.

Imaginez en plus que ce nouvel organisme gère un site web national, pour les utilisateurs qui adhèrent à la licence globale en la payant, qui verrait toutes les compositions des artistes. Ce site web permettrait d'écouter en basse qualité, par ex., une partie de tout morceau, et dès qu'un choix est fait, de le télécharger : +1 pour l'artiste de l'oeuvre dans la redistribution des droits. Evidemment ce site serait payé par une partie des droits mensuels de la licence, par ex.

Le tout combiné avec les Majors qui seraient dans l'obligation, rapidement, sous peine de voir leurs profits fondre, de créer le même type de site avec leurs artistes, gérant un abonnement de téléchargement illimité mensuel sur leurs oeuvres, on aurait peut-être une solution globale intéressante?


Qui va gérer ça ? Qui va en fixer les critères d'admission ? Qui, plus simplement, va nous foutre la paix dans nos pratiques ? Donc, si je veux exister en tant que compositeur il faut que je sois inscrit, que je donne mes compositions à un organe national... Et puis quoi encore ? La musique, l'art, c'est la possibilité, la liberté de créer, de choisir, d'imaginer, de diffuser, pas une vulgaire tour de Babel administrative...

Désolé d'être aussi direct, mais je rejoins complétement la position de Dana et Leviathan. Cette licence, je n'en veux pas. Aujourd'hui que nous avons des solutions techniques et juridiques qui nous permettent de voler de nos propres ailes sans devoir passer par des producteurs ou des systèmes comme la SACEM, il faudrait que l'on revienne en arrière ? Pas d'accord.

Il faut donc entrer en contact avec les artistes, et leur expliquer ce qui se passe, leur parler musique libre, logiciels libres, etc... Je ne crois pas que Sardou et Souchon soient réellement au courant de ce qu'est un logiciel libre, une licence libre, une musique libre... Souchon sous Linux ?


Euh... Expliquer cela à des pseudo-artistes qui servent le même bouillon à longueur de temps...? Tu as beaucoup de courage. Je suis en train d'écrire un texte dans cet esprit pour une future compil' Framasoft, mais sincérement il vaut mieux se tourner vers des artistes qui ont, en leur temps, brisé des barrières plutôt que les spécialistes des portes ouvertes.
kaneda_aka_tetsuoka

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Ven 23 Déc, 2005 15:19

kaneda_aka_tetsuoka a écrit:
Imaginez qu'avec l'argent récupéré, le ministère de la culture puisse créer un nouvel équivalent de la SACEM, qui enregistrerait tout nouvel artiste, avec ses compositions.

Imaginez en plus que ce nouvel organisme gère un site web national, pour les utilisateurs qui adhèrent à la licence globale en la payant, qui verrait toutes les compositions des artistes. Ce site web permettrait d'écouter en basse qualité, par ex., une partie de tout morceau, et dès qu'un choix est fait, de le télécharger : +1 pour l'artiste de l'oeuvre dans la redistribution des droits. Evidemment ce site serait payé par une partie des droits mensuels de la licence, par ex.

Le tout combiné avec les Majors qui seraient dans l'obligation, rapidement, sous peine de voir leurs profits fondre, de créer le même type de site avec leurs artistes, gérant un abonnement de téléchargement illimité mensuel sur leurs oeuvres, on aurait peut-être une solution globale intéressante?


Qui va gérer ça ? Qui va en fixer les critères d'admission ? Qui, plus simplement, va nous foutre la paix dans nos pratiques ? Donc, si je veux exister en tant que compositeur il faut que je sois inscrit, que je donne mes compositions à un organe national... Et puis quoi encore ? La musique, l'art, c'est la possibilité, la liberté de créer, de choisir, d'imaginer, de diffuser, pas une vulgaire tour de Babel administrative...

Désolé d'être aussi direct, mais je rejoins complétement la position de Dana et Leviathan. Cette licence, je n'en veux pas. Aujourd'hui que nous avons des solutions techniques et juridiques qui nous permettent de voler de nos propres ailes sans devoir passer par des producteurs ou des systèmes comme la SACEM, il faudrait que l'on revienne en arrière ? Pas d'accord.

Excuse-moi, mais où as-tu vu qu'il y a obligation?

3 choix s'offre à toi :
- utiliser le Net pour faire ta pub comme tu l'entends (peer-to-peer, sites webs, forums, le tout commercialement ou non)
- essayer de profiter de la licence légale en t'enregistrant
- faire don de tes oeuvres de l'esprit aux majors ou autre revendeur de ton choix

J'ai du mal à croire que des artistes ne se verraient dans aucun de ces possibilités? 8)
Blbird

Messages : 26

Ven 23 Déc, 2005 15:29

Excuse-moi, mais où as-tu vu qu'il y a obligation?

3 choix s'offre à toi :
- utiliser le Net pour faire ta pub comme tu l'entends (peer-to-peer, sites webs, forums, le tout commercialement ou non)
- essayer de profiter de la licence légale en t'enregistrant
- faire don de tes oeuvres de l'esprit aux majors ou autre revendeur de ton choix


Magnifique... Et comment distingues-tu chez l'utilisateur le téléchargement légal faisant partie de la licence globale, légal hors licence globale et illégal ? On va s'amuser...
kaneda_aka_tetsuoka

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Géo : Lille

Ven 23 Déc, 2005 15:36

kaneda_aka_tetsuoka a écrit:
Excuse-moi, mais où as-tu vu qu'il y a obligation?

3 choix s'offre à toi :
1) utiliser le Net pour faire ta pub comme tu l'entends (peer-to-peer, sites webs, forums, le tout commercialement ou non)
2) essayer de profiter de la licence légale en t'enregistrant
3) faire don de tes oeuvres de l'esprit aux majors ou autre revendeur de ton choix


Magnifique... Et comment distingues-tu chez l'utilisateur le téléchargement légal faisant partie de la licence globale, légal hors licence globale et illégal ? On va s'amuser...

Pour le 2), le téléchargement pourrait être centralisé donc facilement vérifié.

Pour le 3) pareil sur plusieurs sites webs.

Pour le 1), hé bien comme on le fait actuellement, avec le baton, plus sévère puisqu'il y a la carotte qui va avec. :wink:
Dernière édition par Blbird le Ven 23 Déc, 2005 15:41, édité 1 fois au total.
Blbird

Messages : 26

Ven 23 Déc, 2005 15:39

Si tu es adepte du bâton, on ne risque pas de se comprendre. Je n'ai pas souvenir que la répression ait permis de résoudre quoi que ce soit. On parle de culture, pas de buziness...
kaneda_aka_tetsuoka

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