tbernard a écrit:Je suis d'accord sur le sens premier de "logiciel libre", mais au sens figuré, je pense que pour le moment on ne peut appeler autrement que "libre" ou "pseudo libre" ces licences qui se rapprochent bien plus, comme le souligne LS., du libre que du propriétaire.
En effet, on n'est plus dans une schématique totalement propriétaire, et ni totalement libre au sens FSF.
Mais, de fait que minimum les
CCassurent :
Offrir une autorisation non exclusive de reproduire, distribuer et communiquer l'oeuvre au public à titre gratuit, y compris dans des oeuvres dites collectives.
(...)
On est, dès la base dans une schématique ouverte à l'autre.
On n'est plus dans une phase autogire, où l'auteur se centralise sur lui-même, au-travers du "kosmos" séculier et commercial existant.
Il fut un temps, la FSF - si ma mémoire ne me fait pas défaut - dans son ancien site GNU.org, parlait non pas de licence GNU-Incompatible, mais
avait plus le propos de licences assimilées.
Ma mémoire me joue certainement des tours...
mais, l'idée que je veux dégager, et celle-là :
LICENCES LIBRES ASSIMILEES
Il me semble qu'ainsi forcèment, on permet humainement de donner, de faire retrouver, voire retrouver tout court, cette dimension de partage et de don de son art à l'autre, ce qui est STRICTEMENT la base même d'une GNU/GPL, par exemple...
A la différence, qu'elles s'expriment avec un peu plus de restrictions.
Mais la GNU/GPL, en rapport avec des *BSD, n'est-elle pas décrite comme plus restrictive.
Et, si on va au fond des choses, et surtout des licences libres, quelles qu'elles soient, je n'en connais aucune qui donne, permet le statut de se dégager humainement de son crédit d'auteur, de sa fameuse reconnaissance du droit d'auteur, à laquelle nous sommes tous, fortement attachés, plus ou moins.
Est-ce que cela aussi n'a pas plus de sens, que le fait de souhaiter émettre son oeuvre en interdisant de les vendre par autrui,
sauf accord individuel, mais en laissant à autrui la possibilité de faire ce qu'il veut de ses oeuvres dérivées du fait qu'elles sont quand même ses oeuvres ?!
Je connais pas d'artistes qui soient capables d'émettre une oeuvre et qui ne soit pas attaché au miminum à son titre d'auteur sur l'oeuvre en question. Apparement, il y a eu ce fameux atelier Populaire, dont Leclerc a "volé" certaines oeuvres...
Est-ce que cela n'est pas envisageable juridiquement parlant ?
Serait-ce là, l'ultime liberté, plus Libre qu'une GNU* ???
Et, ne parlons pas du Domaine Public ... ce n'est pas un choix, c'est un fait indubitable, après tant d'années... de bons et loyaux services commerciaux.