Oups j'ai marché dans un troll
Plusieurs idées un peu dans toutes les directions, je vais essayer de pas perdre mon latin :
Le nerf de la guerre c’est l’Education. Il dépend d’un choix politique, lui-même dépendant de la volonté des citoyens et de leur capacité à l’exprimer.
Je ne suis pas de cet avis, en pragmatique résolu, il me semble que les choix politiques dépendent d'un
intérêt financier général. Si le libre commence à s'imposer dans l'administration, ce n'est pas par gout de la Liberté, mais plus pour des raisons financières. Cela coûte moins cher donc tout le monde il est content.
j'ai vraiment du mal à comprendre comment un logiciel pourrait emerguer avec un autre logiciel qui lui prend toute la place ! Je n'arrive pas à comprendre comment Linux peux se développer sans prendre la place de Windows, [...]
Ce n'est pas ce que j'ai voulu exprimer. Prenons un exemple : Dans certains secteurs d'activité, Microsoft ne cherche qu'à noyer le marché avec des solutions de pointe et moins chers que ses concurrents (un logiciel comme Encarta -Encyclypédie- n'a jamais été rentable). Peut-être qu'un jour il se rendront compte que, pour réaliser ces opérations d'inondation dans certains secteurs, développer des solutions libres serait 1. Moins cher à développer, 2. Mieux perçu par les consommateurs. C'est la stratégie qu'utilise Google avec son messenger GoogleTalk basé sur Jabber. Les logiciels libres sont "apatrides", ils n'appartiennent à personne. Ce que je souhaite c'est qu'on arrête de les traiter comme si il y avait un communauté libre contre les éditeurs de logiciel. Pour moi les logiciels libres sont des outils encore trop inexploités par ces mêmes éditeurs de logiciel.
Bien qu'étant pacifiste, je me permet cette analogie : Les logiciels libres ne sont pas une armée dans la bataille mais une arme. C'est le camps qui saura le mieux s'en servir qui remportera le marché.
Ce qui est critiqué, c'est la rpivation de libertés que cela implique. Il est dans ce cas du devoir de chacun de dénoncer cela et de contrecarrer ce qui ne va pas.
Je suis d'accord avec le fait que cela prive de certaines liberté. Ce sont les actions menés pour les récupérer que je trouve inefficaces et grotesques. Dénoncer le manque de liberté c'est bien, mais, comme je disais précédemment, les seuls grandes victoires d'incursion remportées par le libre sont toujours une affaire d'argent (le libre dans l'administration nationale, on peut citer encore la domination de linux pour les serveurs : c'est moins cher et plus simple à gérer). Pour "retrouver notre liberté", ce n'est pas, à mon humble avis, une démarche politico-philosophique qu'il faut employer, mais une démarche de business.
Petite parenthèse historique juste parce que ca me titille de parler de la revendication à la française : la matrice de toutes nos manifs nationales est la révolution. A l'école, on nous apprend que c'est suite au mouvement philosophique des Lumières qu'à pu se déclencher ce soulèvement. On oublie juste de dire que c'est la bourgeoisie française, qui détenait l'argent mais pas le pouvoir, qui s'est appuyée sur une conjoncture plutôt mauvaise dans la population (disette) pour former ce mouvement.
Si nous voulons que la révolution du libre arrive il faut que cela soit profitable à quelqu'un : les entreprises.