J'aurai bien voulu continuer dans le sujet "B2i... roi est nu..." mais la conversation semble y avoir tourné au n'importe quoi. De plus je m'intéresse spécifiquement ici à l'échéance 2007.
Alors voilà, voilà la chose comme je la perçois, à mon humble niveau de débutant. Le B2i, dans l'absolu c'est pas inintéressant. On peut se perdre dans des discussions sur les avantages de tel ou tel exercice. Mais il reste une difficulté pratique qui me semble difficilement contestable:
Un grand penseur a écrit:[align=center]"Le B2i est une activité supplémentaire et considérable, qui n'est dotée ni en horaires, ni en postes, ni en formations, et qui est demandée à des collègues qui sont statutairement contraints de passer leur temps à autre chose"[/align]
Autrement dit, c'est un peu comme l'assr, sauf que ce serait plus volumineux, au point de nécessiter les ressources d'une discipline à part entière. Et pour les disciplines à part entière, donc justement celles qui sont inscrites dans le Brevet, ben d'habitude y'a une suite logique qui comporte: formation des formateurs, création de postes rémunérés, horaires de cours...
Donc en fait je sais pas trop quoi en dire, sauf que ça a l'air d'être un monstre organisationnel. J'ose la question: ne vaudrait-il pas mieux refuser le B2i dès le début de l'année scolaire? Attention, j'ai pas dit "dénigrer les TICE", hein, j'en suis moi-même promoteur.
Mais bon, on me demanderait d'organiser un stage de voile en plus, alors que je connais rien à la voile, que je suis tenu de faire autre chose que de la voile, que les collègues d'Education physique sont pas disponibles et que les efforts de stages de voile des années précédentes semblent avoir échoué dans tous les établissements, je serais un peu interloqué. Un peu quand-même.
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Buzuk
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