Or, afin de surveiller les oeuvres efficacement compte tenu de leur nombre, il faudra des moyens absolument énormes pour mettre en place des serveurs mouchards.
Rappelons que les quelques societés développant des services "anti pirates" ont declaré que leur activité n'etait pas rentable (je n'ai plus la source, mais je la retrouverai)
Rappelons aussi que les services de cybercriminalité mis en place pour des problèmes beaucoup plus grave et dangereux souffrent deja de leur manque de budget.
Je me demande donc qui va se charger de mettre en place des moyen pharaonique pour surveiller tout ca, sachant de surcroît que le bénéfice ira seul, à l'état ( puisque ce sont des contraventions).
Par ailleurs, le principe semble etre etabli sur la base d'un controle d'adresse IP.
Mais comment prouver qu'une oeuvre a été téléchargée sur la base d'un adresse IP à un instant T?
Un fichier tant qu'il n'est pas complet est morcellé, inexploitable et pratiquement inaudible est n'est donc pas l'oeuvre .
Compte tenu des manques de moyens probables cité plus haut, je vois mal des serveurs surveiller les IP sur l'ensemble du temps de download.
Je me demande donc comment donc seront considérés les fragments de fichiers...
-
mcguffin
- Messages : 23