Ah lala, j'avais presque fait mon choix, et voilà que vous me faites douter...
Bon, la reflexion que je me suis faite ce week end se résume à ça :
Pour l'instant l'appli n'est pas destinée à être vendue (simplement car je n'ai pas la possibilité de créer une structure pour )
Mais le développement bénévole ne m'excite pas spécialement
ce qui m'incite à garder une porte de sortie au cas où...
La solution d'un freeware propriétaire n'empèche pas un développement à plusieurs ( même si elle le limite un peu )
Elle n'empèche pas les contributions par les utilisateurs - je pense aux traductions de l'interface principalement.
Elle n'empèche pas une entreprise de sponsoriser le développement ( on peut toujours réver...)
Elle n'empèche pas le développement des "améliorations sur mesure" si des organismes étaient prêts à payer pour telle ou telle fonctionnalité. ( Par contre en open source, l'organisme peut le faire ou le faire faire )
Par contre ça limite les contributions au code par les utilisateurs.
Mais pour 95% des utilisateurs, ce qui importe vraiment, c'est le rapport qualité/prix - le code ils s'en battent.

( contrairement aux militants du libre ou aux programmeurs

)
Ce qui me fait peur dans le libre c'est le caractère irrévocable de la décision. à partir du moment où une version sera open, il me parait utopique d'essayer de 1.vendre une version commerciale en parallèle, 2. passer vers une licence non libre au bout d'un certain temps.
L'impression que ça me donne c'est que si mon code est fermé, ça recule l'échéance de la décision cruciale.
Le moment venu je pourrais toujours 1. le passer en open source si je n'ai plus le temps de m'en occuper, ou 2. le vendre si l'opportunité se présente. ( en partageant avec les autres membres de l'équipe si je ne suis pas seul )
10ip a écrit:Personnellement, je ne participerai pas au developpement d'un programme propriétaire, que ce soit pour la traduction le debug ou l'apport d'idées neuves, de peur de voir ce travail utilisé dans un but mercantiliste
C'est vrai. c'est beaucoup plus dur de prouver sa bonne foi lorsque le code est fermé.
Mais un projet open source peut aussi passer de l'autre côté, et le travail de dizaines de contributeurs mis à profit par un seul petit groupe. ( qui à parlé de polémique Mozilla ?

)
restouble, je n'ai pas dit que les logiciels libres n'étaient pas dignes de confiance, bien au contraire ! Juste que personellement, lorsque je croise un freeware closed, si le site est bien présenté et que le projet semble important, je lui fais autant confiance qu'à un logiciel open source, même si je ne peux pas voir le code pour en être sûr.
Un programmeur ayant passé des mois sur son projet ne va pas le saboter.
voilà. Je vais voir le projet Veni Vidi Libri, les interviews et tous les liens, merci beaucoup.
Je ne connais pas spécialement les détails des licences, (il y en a beaucoup, c'est rebutant) et les subtilités dans leurs différences .