Lun 16 Jan, 2006 14:03
En fait avec leur conneries ils sont en train de se saborder sans le savoir.
Pour l'instant et à l'avenir le seul moyen qu'ils auront de nous controler est le net. Si nous ne passons pas par le net ils ne peuvent rien pour nous.
Les copy parties vont reprendre de plus belle et ça sera bien fait pour leur tronche.
De toutes façons, vu la direction que prend la "culture" et le "divertissement" il est à craindre que nous n'ayont plus grand chose à "télécharger" d'ici peu.
Il suffira de créer un logiciel (P2P) ou, au lieu d'échanger des fichiers (ce qui va être illégal) on échangera des listes de disponibilités. Si tu veux un album tu pourras trouver un mec dans ta ville qui pourra te le fournir, ensuite tu rentres en contact avec lui et le tour est joué. Pour la confidentialité on pourra crypter les emails. Mais comme il ne s'agira pas de diffusion massive et qu'aucun fichier ne transitera ils auront du mal juridiquement à nous plomber. Ca sera plus contraignant que le système actuel mais je crois que je suis prêt, surement comme beaucoup d'entre vous, à me compliquer la vie plutot que me plier à une loi scélérate. Histoire de principe. Et puis avec un système comme ça, on ne recupèrera que ce que l'on veut vraiment et on arretera le téléchargement compulsif et boulimique pour nous retrouver avec 50% de morceaux qu'on ecoute pas.
Ce n'est qu'une idée lancée comme ça, je me doute bien que plein de personnes trouveront le moyen de me démontrer par A plus B que ce système n'est pas faisable, viable ou quoique ce soit. Ce qui compte dans ce que je viens de dire, plus que l'ébauche de solution présenté, c'est que nous pourrons toujours nous réunir physiquement et faire notre cuisine entre nous sans passer par le net. Ils ne pourront endiguer la diffusion d'oeuvres protégées, ça me parait tellement évident. une chose est sure, il ne gagneront pas plus d'argent que maintenant, en tous cas, s'ils le font, ça ne sera pas grace à moi.
ArnO.