tamamanquitaime :
J'avais rédigé "à chaud" une réponse à votre liste de réponses/citations à mon intervention.
La connection au forum a "sauté" au moment même de l'envoi ..... et ce n'est pas plus mal !
En résumé j'y "annotais" votre foi en :
* les bonnes manières qu'il faut avoir pour saisir un parlementaire de ses demandes,
* la supposée pondération et expérience des professionnels qui évitent de raconter des nawaks
* la relative faiblesse numérique de la représentation parlementaire et des "quelques fonctionnaires" chargés de les assister.
Je commente derechef :
* Les "bonnes manières" ? certes la politesse envers un interlocuteur n'est pas une notion périmée, mais elle fonctionne à double sens entre l'élu et le citoyen et ne doit pas servir d'excuse à la condescendance dont font preuve les réponses stéréotypées des secrétariats parfois : "J'ai bien pris connaissance de .... bla- bla ... et je peux vous assurer, cher ... etc...."
* Les parlementaires sont eux aussi très doués pour "déblatérer le nawak"!
Reste le problème de fond : en tant que membres du pouvoir législatif doivent-ils absolument s'emparer séance tenante (voire à la sauvette) d'un problème ?
Le jeu des question orales et écrites (lesquelles sont publiées sur le site de l'assemblée), la participation aux diverses commissions, etc..... tout un travail de préparation, de débat ....... dont les "internautes si facilement manipulables" (au passage merci pour l'opinion mais je peux vous retourner l'argument au regard de votre dévotion envers les "institutions

) sont assez grands pour se rendre compte s'il est bâclé ou pas sur ce coup là.
* Les frais de fonctionnement alloués aux parlementaires par la collectivité nationale leur permettent d'engager un (ou plusisurs) assistant (s, e, es) parlementaire. Pour autant que je me souvienne, ceux-ci n'ont pas le statut de fonctionnaires ?
Mais commenteriez-vous objectivement qu'une valse législative mette au chômage un certain nombre de personnes et qu'on puisse supposer (c'est une constante de la nature humaine) que mantien d'un certain statu quo et volontés réformatrices soient des notions qui se côtoient mais ont un caractère
s .... disont un peu antagoniste ?
Par opposition à votre argumentation sur le fait que prendre les voies les plus "policées" soit le meilleur moyen (le plus efficace) d'avoir l'oreille des élus (ce dont je doute de plus en plus), je ne voudrais pas non plus passer pour un boulangiste à tous crins, mon expérience personnelle est beaucoup plus nuancée que vous n'aimeriez sans doute le croire ou le faire croire en me répondant.
Au passage je vous signale que je n'ai jamais téléchargé illégalement au moyen de logiciels d'échange poste à poste, mais que je souhaite pouvoir toujours utiliser ce genre de technique pour obtenir (efficacement et en préservant la bande passante des sites d'origine) les contenus licites : images iso de compilations de Logiciels Libres,
CD's de musique sous licences ouvertes (qu'on ne peut obtenir que par ce moyen) and so on (les usages du peer to peer "légal" sont bien plus étendus que le débat et hélas les pratiques majoritaires actuelles ne le laissent supposer aux "66 % de sondés" qui servent d'alibi au mauvais coup. Je ne suis pas aveugle non plus !)).
Et cela, la délibération à venir me semble être un cheval de Troie qui peut mener à m'empêcher de le faire.
En plus, sur le support qui me permet cette opération je suis déja taxé, alors des fois ça m'énerve d'entendre certains "arguments" (qui n'en sont pas, seulement des pratiques et des opinions personnelles, peut-être ?)
Qu'elles se rassurent, Lorie et autres nymphettes et autres godelureaux chantants ne perdront pas d'argent à cause de moi (ni leurs producteurs/vampires ni leurs ayants-droits/héritiers) !
(ça va, je la joue bien "vieux con", là ?
Bien à vous, tonpapyteigneux.
P.S. édition : le caractère en gras (auto-dérision)