Perso j'aime pas les romans policiers, mais j'avais envie d'en citer un bout parce que ça ma franchement gonflé (p.223) :
Le sac à dos contenait son Apple iBook blanc avec son disque dur de 25 Go et 420 Mo de mémoire vive, fabriqué en janvier 2002 et pourvu d'un écran de 14 pouces. Quand elle l'avait acheté, c'était le fin du fin de chez Apple. Les ordinateurs de Lisbeth Salander disposaient des configurations les plus récentes et parfois les plus coûteuses (Note du Recopieur : "Tu m'étonnes !" [...]
La perte de l'ordinateur était un coup au moral mais pas une catastrophe. Lisbeth Salander s'était parfaitement bien entendue avec lui au cours de cette année de vie commune. Elle avait fait des copies de tous ses documents et elle possédait un vieux Mac G3 fixe, plus un PC Toshiba portable qu'elle pourrait utiliser. Mais - bordel de merde ! - elle avait besoin d'une bécane rapide et moderne.
Elle opta, on pouvait s'y attendre, pour le meilleur choix possible : le nouvel Apple PowerBook g4 à 1 Ghz, coque en alu et doté d'un processeur PowerPC 7451, AltiVec Velocity Engine, 960 Mo de RAM et d'un disque dur de 60 Go. Il avait BlueTooth et un graveur CD et DVD intégré.
Il avait surtout le premier écran 17 pouces du monde des portables avec une carte graphique Nvidia et une résolution de 1440 x 900 pixels qui ébahissaient les adeptes des PC et déclassaient tout ce qu'on pouvait trouver d'autre sur le marché.
C'était la Rolls des ordinateur portable, mais ce qui avait titillé l'envie de le posséder de Lisbeth Salander étati l'astuce que le clavier avait été pourvu d'un rétroéclairage, permettant de voir les lettres des touches même dans l'obscurité totale. Simple, non ? Pourquoi est-ce que personne n'y avait pensé avant ?
Pour résumer le contexte, Lisbeth Salander est considérée comme psychologiquement instable et elle est mise sous tutelle. (Accessoirement elle est sensé avoir cracker le pc du héros. [s]Comment ? ça l'histoire ne le dit pas[/s] ah ben si finalement

Bref, moralité : passez à linux ça vous évitera pas mal d'ennuis...
Pour en revenir au bouquin, c'est très souvent que Stieg Larsson cite des marques liées à l'informatique... on sens l'autosatisfaction du journaliste qui croit vraiment s'y connaitre (et ça m'énerve

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JosephK
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