Page 2 sur 2Précédent 1, 2Licence poétique

[PengouinPdt]

"Droit d'auteur" aussi c'est poétique et même "technicien de surface".

Je préfère : "Porteur de nouvelles"
dixit messieurs les facteurs...

[didjeko]

Mm, droit d'auteur je ne trouve pas cela très poétique.
Oeuvres dérivées : ma licence concerne uniquement l'écrit ; l'élargissement à d'autres formes artistiques est hors de propos. Seuls m'importent les textes uniques ; si je considérais qu'un texte pouvait être dérivé sans difficultés, cela signifierait que le texte n'est pas terminé et qu'il ne dirait pas ce qu'il a a dire... débat un peu stérile. Cela étant, la réutilisation de sujets et de textes antérieurs n'a - je pense - pas besoin d'être spécifiée car elle existe déjà et est une pratique déjà établie ; exemples qui me passent par la tête : Molière, La Fontaine, Picasso, Erro...

[AntoineP]

Cela étant, la réutilisation de sujets et de textes antérieurs n'a - je pense - pas besoin d'être spécifiée car elle existe déjà et est une pratique déjà établie ; exemples qui me passent par la tête : Molière, La Fontaine, Picasso, Erro...

Oui, car il y a le passage en domaine public 50 ans (ou 70 ?) après la mort de l'auteur.

[didjeko]

Ben il y a tout simplement le droit de citation, qui suffit amplement. J'aimerais bien que quelqu'un me cite de mémoire et en direct 10 exemples concrets et valables de personnes qui écrivent et sont entravés dans leur désir profond de produire des textes dérivés... cela devrait suffire à montrer l'ampleur de cette problématique sur le plan de la création littéraire.