Dans Les Echos du 7 février dernier, j'ai trouvé l'article Les démocrates soignent l'industrie high-tech particulièrement interessant : "L'arrivée d'une majorité démocrate au Congrès américain fait naître beaucoup d'espoirs dans l'industrie high-tech, en particulier dans la Silicon Valley. La raison en est simple : la nouvelle présidente de la Chambre des représentants (speaker), Nancy Pelosi*, est une élue de San Francisco. Surtout, son « agenda technologique » est ambitieux. Après son succès électoral, elle a insisté sur l'importance qu'elle attachait à faire évoluer la législation dans de nombreux domaines technologiques."
Les mesures envisagées :
Du bon :
Du moins bon :
"Une autre industrie californienne où la technologie joue un rôle capital devrait être rassurée par l'arrivée des démocrates : c'est celle du cinéma. Les studios d'Hollywood savent en effet qu'ils peuvent compter sur le soutien de ces parlementaires. Une grande complicité règne entre les responsables politiques du parti de l'Ane et les vedettes du grand et du petit écran. Concrètement, cela signifie aujourd'hui que les démocrates devraient se montrer particulièrement réceptifs aux attentes de l'industrie du cinéma, qui souhaite de meilleures protections législatives avant de rendre les contenus massivement disponibles sur Internet.
Ainsi, par exemple, une loi pourrait prochainement être votée qui imposerait aux fabricants d'équipement d'électronique de loisirs (téléviseurs, décodeurs et magnétoscopes numériques, lecteurs de DVD, etc.) d'installer dans leurs appareils une puce - déjà baptisée Broadcast Flag - censée empêcher la diffusion de tout contenu piraté. En théorie, les républicains n'étaient pas opposés à une telle éventualité, réclamée depuis longtemps par les propriétaires de droits, mais en pratique celle-ci n'a jamais été votée alors que la technologie est prête. Ce pourrait être fait cette année."
L'article conclut :
"« L'industrie high-tech a toutes les raisons de se réjouir de l'arrivée des démocrates », résume Joshua Ackil, vice-président de l'information Technology Industry Council.
Cette association, qui regroupe notamment Microsoft, Intel, Dell, Cisco ou encore Apple, sait de quoi elle parle. Elle exerce une intense pression à Washington pour faire prévaloir ses intérêts. Et sait donc facilement reconnaître par qui ils seront les mieux défendus..."
*Ici, en plein overclocking
Les mesures envisagées :
Du bon :
- Une enquête sur les écoutes pratiquées dans le cadre des lois « Patriot Act »
Garantir la neutralité d'Internet par la Loi ("cette notion recouvre le fait que le trafic sur Internet, acheminé par des milliers d'opérateurs de réseaux et de services sur la planète, doit être traité de façon identique")
Du moins bon :
"Une autre industrie californienne où la technologie joue un rôle capital devrait être rassurée par l'arrivée des démocrates : c'est celle du cinéma. Les studios d'Hollywood savent en effet qu'ils peuvent compter sur le soutien de ces parlementaires. Une grande complicité règne entre les responsables politiques du parti de l'Ane et les vedettes du grand et du petit écran. Concrètement, cela signifie aujourd'hui que les démocrates devraient se montrer particulièrement réceptifs aux attentes de l'industrie du cinéma, qui souhaite de meilleures protections législatives avant de rendre les contenus massivement disponibles sur Internet.
Ainsi, par exemple, une loi pourrait prochainement être votée qui imposerait aux fabricants d'équipement d'électronique de loisirs (téléviseurs, décodeurs et magnétoscopes numériques, lecteurs de DVD, etc.) d'installer dans leurs appareils une puce - déjà baptisée Broadcast Flag - censée empêcher la diffusion de tout contenu piraté. En théorie, les républicains n'étaient pas opposés à une telle éventualité, réclamée depuis longtemps par les propriétaires de droits, mais en pratique celle-ci n'a jamais été votée alors que la technologie est prête. Ce pourrait être fait cette année."
L'article conclut :
"« L'industrie high-tech a toutes les raisons de se réjouir de l'arrivée des démocrates », résume Joshua Ackil, vice-président de l'information Technology Industry Council.
Cette association, qui regroupe notamment Microsoft, Intel, Dell, Cisco ou encore Apple, sait de quoi elle parle. Elle exerce une intense pression à Washington pour faire prévaloir ses intérêts. Et sait donc facilement reconnaître par qui ils seront les mieux défendus..."
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Linux : il y a moins bien, mais c'est plus cher
http://libre-ouvert.toile-libre.org/
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