Afraid that cracking the code might have been copyright infringement, Psiaki's group consulted with Cornell's university counsel. "We were told that cracking the encryption of creative content, like music or a movie, is illegal, but the encryption used by a navigation signal is fair game," said Psiaki. The upshot: The Europeans cannot copyright basic data about the physical world, even if the data are coming from a satellite that they built.
<traduction grossière>
De peur que « craquer » le code puisse être considéré comme de la violation de « propriété intellectuelle », le groupe mené par Psiaki a saisi le conseil [juridique] de l'université de Cornell. « Ils nous ont dit que « craquer » les algorithmes de cryptage d'oeuvres comme une musique ou un film était illégal, mais que « craquer » le cryptage employé par un système de navigation était légal » a déclaré Psiaki. En résumé : les européens ne peuvent breveter des données trivialles portant sur le monde physique, même si ces données sont issues d'un satellite qu'ils ont construit.
</traduction grossière>
La « propriété intellectuelle » se voit encore une fois malmenée, mais n'y-a-t-il pas là un appel à une vaste réflexion de la part de philosophes, sociologues et économistes avant que des débats bâclés par des politiciens n'ait lieu ?
Disclaimer : ce n'est pas une apologie du « craquage » ou du piratage mais un élément de réflexion sur le sujet ô combien complexe des immatériels (et puis DADVSI n'est pas encore promulguée

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François Battail
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