desesperatly a écrit:Latex a écrit:Il arrive que les artistes donnent leur accord sans avoir celui de leur maison de disque (ex.: Robin Williams qui du haut de ses quelques millions d'avance sur recette peut tranquillement proclamer que le téléchargement, c'est fun) ou d'autres titulaires de droits (auteurs, artistes-interprètes etc.). Dans ce cas, la mise à disposition de ces lives est interdite.
Mais le producteur peut être OK (notamment en cas d'autoproduction). Il y a dans ce cas mise à disposition autorisée et, en bonne application du droit d'auteur, on ne risque rien.
Mais ici encore, la loi DADVSI ne change strictement rien. Les titulaires de droits ont la liberté de proposer leurs oeuvres gratuitement.
Attention, je ne parle pas ici de téléchargement d'oeuvres éditées ou à disposition sur le marché, mais bien d'oeuvres inédites .... le seul "hic" est que les titre concernés sont enreigstrés dans les organismes de gestion de droits ... mais dans la mesure ou elles ne font pas partie d'une parution officielle, l'accord des artistes-interprètes n'est-il pas suffisant ?
Cela se fait actuellement pour quelques groupes, et personne jusqu'ici n'a été embêté avec cela... ce qui m'inquiète, c'est si les amendes automatiques se généralisent.... come le disait quelqu'un plus haut, la présomption d'innocence veut que l'accusation prouve la faute, et non l'inverse
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Latex
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