antistress a écrit:Les oeuvres acquises dématérialisées (par téléchargement sur Internet) et dont la copie est arbitrairement restreinte posent de façon extrêmement aigüe la question de la pérénité de ces oeuvres acquises et de la transmission de notre savoir et de notre culture.
Je suis entièrement d'accord.
Voici venu le temps de la culture qui s'use si l'on s'en sert!
N'est-ce pas la fin de notre patrimoine culturel tel qu'il est conçu jusqu'à présent ?
Si la culture ne peut être transmise et devient ephémère, il n'y a plus de patrimoine culturel par définition.
C'était bien la peine de faire une exception culturelle!
Encore une fois totalement d'accord, je ne l'aurais pas mieux dit. D'ailleurs ce sont peut-être des points qu'il aurait fallu mieux faire ressortir dans le courrier aux sénateurs : la démonstration est parfaitement claire et implacable, mais je ne suis pas sure qu'ils perçoivent les enjeux qu'on soulève ici. Cela dit je sais bien qu'il est difficile de parler de choses graves dans un contexte obscur sans passer pour un original.
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Alix Cazenave
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