C'est une excellente nouvelle qui me soulage à un point que je ne saurai dire. Malheureusement, cette issue "heureuse" (disons que c'est un statu quo satisfaisant dans la mesure où la brevetabilité des logiciels n'est pas institutionnalisée mais que le flou juridique européen persiste malgré tout) n'a été possible que parce que le parti majoritaire au Parlement, le PPE, a décidé hier soir de voter contre la directive
parce qu'elle restreignait en l'état la brevetabilité totale défendue par les grands industriels. La directive qui nous fait tant peur n'est donc pas passée grâce aux votes de députés aux idéaux à l'opposé de ceux que nous défendons. Un petit coup d'oeil à la
source de ces allégations pour s'en convaincre.
Sinon, pour l'anecdote, cet
article de Libération cite un certain Alexis, enseignant à Rome, dans le contexte des logiciels libres. Je rêve ou il s'agit de notre aKa (inter)national?
Le problème des informaticiens, c'est qu'ils ont tendance à être binaires.