Le texte n'est pas dénué d'interêt, on remarquera que quelques causes de mécontentement des "utilis'acteurs" libres sont amenés délicatement et l'air de rien (l'affichage des prix des logiciels lors de l'achat d'un PC par exemple).
L'AFUL remet aussi à sa place l'INPI, on aurait pu croire que cette annonce, faite à l'occasion de la joyeuse (sic) et formidable (resic) fête de la propriété intellectuelle, à l'aube de l'apparition du merveilleux outil de protection de la créativité et de l'innovation qu'est le brevet logiciel, avait fait changer de cap l'AFUL. Que nenni !
Comme je trouve ça marrant, poilant, tordant et hilarant, j'en met un extrait
Mais c'est tellement vrai que des licences soient gérées par dessus l'épaule dans certaines institutions.Il est inacceptable que des citoyens, voire même des institutions publiques comme l'INPI (Institut National de la Propriété Industrielle), trouvent normal d'utiliser des logiciels contrefaits.
Encore des extraits terrrrribles
Si l'on peut comprendre que les gamins de nos écoles se cherchent une identité de groupe au travers des marques de leurs vêtements, cela semble quelque peu immature de la part d'adultes en ce qui concerne le choix de leurs logiciels
ou
[La contrefaçon logicielle cause un préjudice financier incalculable.] On peut noter que ce préjudice est tellement incalculable que la BSA (Business Software Alliance), dont c'est pourtant le métier, est incapable de fournir à ce sujet des chiffres crédibles.
L'AFUL taille des chemises a col serrés. :)
-
Invité