- Je me rends bien compte que la création de compte n'est pas très intuitive. J'esperais que, comme il n'y a pas trop d'options possibles, le fait de cliquer sur l'icône soit "naturel". Ce n'est clairement pas le cas. Dommage. Je me demande encore si un icône plus "parlant" pourrait améliorer la chose (j'ai pris le premier icône que j'avais sous la main), mais il est possible qu'au final, je vais devoir rajouter un texte d'explication. (en règle général, j'évite les textes lorsque cela est possible pour ne pas alourdir la localisation du logiciel... et aussi parce que mes compétences rédactionnelles sont ce qu'elles sont).
Maintenant que j'y pense, est-ce que cet icône est suffisament explicite ? Je crois que je vais le tenter...
- J'ai bien conscience qu'il va me falloir rajouter des explications un peu partout. Malheureusement, je ne peux me servir d'infobulle par passage de la souris car l'application est compatible avec les tablettes et ce genre d'évènement n'existe pas sur de tel support. Ca complexifie un peu les choses.
- Ton dernier point est désormais la problématique centrale du logiciel "genius". Celle à la quelle je ne pourrais répondre seul car elle demande une quantité énorme de compétences pédagogiques et de retours d'expérience. Je veux parler de la scénarisation de l'arbre des compétences (merci pour le terme Cyrille, c'est exactement ça). Le nombre de contraintes est tout bonnement hallucinant. Il faut que l'arbre soit : pertinent, progressif, accessible, ludique, non bloquant, etc. C'est extrêmement compliqué et tant qu'une réponse même partielle n'a pas été apportée, je déconseille vivement l'utilisation du logiciel par qui que ce soit. Sauf pour tester évidemment.
Pour l'heure, ce que j'ai essayé de faire c'est de rendre accessibles au départ, les noeuds de base ainsi que certains noeuds de validation (ceux représentant une étoile sur le graphe - bon... il n'y en a qu'un pour l'instant). Ces noeuds de validation permettent de valider les compétences abordées en amont et évite d'avoir à faire toutes les séries d'exercices précédentes. Malheureusement pour l'exemple de la division, le noeud de validation est juste derrière celle-ci. Pour pouvoir aborder cette opération, il faut donc remonter jusqu'au noeud actif précédant qui se trouve être le noeud de base ! Ce n'est effectivement pas terrible. Il est clair qu'il va falloir rajouter d'avantage de noeuds de validation, mais comme je l'ai dit précédemment, je n'ai pas les compétences nécessaires pour scénariser l'arbre moi-même et placer ces noeuds de validation correctement. (Pour reprendre l'exemple de la division, étant donné que celle-ci nécessite la soustraction et la multiplication en colonne, je ne saurais même pas où placer un tel noeud de validation... Il faut donc changer l'arbre de compétences - ce qui techniquement ne pose aucun problème - mais étant donné que j'ai déjà eu énormément de mal à construitre celui-ci, je me vois mal en refaire un autre qui sera forcément criticable également).
Tout ça pour dire, que pour régler ce problème de scénarisation, il va me falloir de l'aide. Beaucoup d'aide.
Cela dit et pour essayer de motiver toute bonne volontée, la question de la scénarisation me semble passionante. Car elle demande de réunir ensemble un grand nombre de compétences :
. Compétences pédagogique en premier lieu.
. Competences de level-design car il faut gérer des notions de courbes de progressions tout en évitant que l'utilisateur ne s'ennuie ou ne se lasse en variant les exercices, etc.
. De l'inventivité. "Genius" se base sur un arbre de compétences numériques. Cet arbre ne doit pas être un simple copier-coller de ce qu'il pourrait être sur un support différent : la caractéristique numérique doit influencer la scénarisation. Par exemple, il me semble désormais évident que la programmation en LOGO doit être un prérequis à l'enseignement de la trigonométrie ou même de la géométrie (c'est d'ailleurs pour cela, que je les ai placés à proximité l'un de l'autre). Déplacer une tortue sur une hypoténus dont on doit calculer la longueur, me semble être une mise en pratique fort intéressante du théorème de Pythagore. De même l'enseignement des statistiques doit nécessiter des compétences en tableur (style excel) et même en programmation classique (traitement de tableaux, calcul de moyenne, affichage d'histogramme, etc.). Je pense réellement qu'il y a tout à inventer de ce côté-là. Et si cela intéresse quelqu'un qu'il n'hésite pas à se manifester.
Désolé d'avoir fait trop long et encore merci pour le retour.
Maintenant que j'y pense, est-ce que cet icône est suffisament explicite ? Je crois que je vais le tenter...
- J'ai bien conscience qu'il va me falloir rajouter des explications un peu partout. Malheureusement, je ne peux me servir d'infobulle par passage de la souris car l'application est compatible avec les tablettes et ce genre d'évènement n'existe pas sur de tel support. Ca complexifie un peu les choses.
- Ton dernier point est désormais la problématique centrale du logiciel "genius". Celle à la quelle je ne pourrais répondre seul car elle demande une quantité énorme de compétences pédagogiques et de retours d'expérience. Je veux parler de la scénarisation de l'arbre des compétences (merci pour le terme Cyrille, c'est exactement ça). Le nombre de contraintes est tout bonnement hallucinant. Il faut que l'arbre soit : pertinent, progressif, accessible, ludique, non bloquant, etc. C'est extrêmement compliqué et tant qu'une réponse même partielle n'a pas été apportée, je déconseille vivement l'utilisation du logiciel par qui que ce soit. Sauf pour tester évidemment.
Pour l'heure, ce que j'ai essayé de faire c'est de rendre accessibles au départ, les noeuds de base ainsi que certains noeuds de validation (ceux représentant une étoile sur le graphe - bon... il n'y en a qu'un pour l'instant). Ces noeuds de validation permettent de valider les compétences abordées en amont et évite d'avoir à faire toutes les séries d'exercices précédentes. Malheureusement pour l'exemple de la division, le noeud de validation est juste derrière celle-ci. Pour pouvoir aborder cette opération, il faut donc remonter jusqu'au noeud actif précédant qui se trouve être le noeud de base ! Ce n'est effectivement pas terrible. Il est clair qu'il va falloir rajouter d'avantage de noeuds de validation, mais comme je l'ai dit précédemment, je n'ai pas les compétences nécessaires pour scénariser l'arbre moi-même et placer ces noeuds de validation correctement. (Pour reprendre l'exemple de la division, étant donné que celle-ci nécessite la soustraction et la multiplication en colonne, je ne saurais même pas où placer un tel noeud de validation... Il faut donc changer l'arbre de compétences - ce qui techniquement ne pose aucun problème - mais étant donné que j'ai déjà eu énormément de mal à construitre celui-ci, je me vois mal en refaire un autre qui sera forcément criticable également).
Tout ça pour dire, que pour régler ce problème de scénarisation, il va me falloir de l'aide. Beaucoup d'aide.
Cela dit et pour essayer de motiver toute bonne volontée, la question de la scénarisation me semble passionante. Car elle demande de réunir ensemble un grand nombre de compétences :
. Compétences pédagogique en premier lieu.
. Competences de level-design car il faut gérer des notions de courbes de progressions tout en évitant que l'utilisateur ne s'ennuie ou ne se lasse en variant les exercices, etc.
. De l'inventivité. "Genius" se base sur un arbre de compétences numériques. Cet arbre ne doit pas être un simple copier-coller de ce qu'il pourrait être sur un support différent : la caractéristique numérique doit influencer la scénarisation. Par exemple, il me semble désormais évident que la programmation en LOGO doit être un prérequis à l'enseignement de la trigonométrie ou même de la géométrie (c'est d'ailleurs pour cela, que je les ai placés à proximité l'un de l'autre). Déplacer une tortue sur une hypoténus dont on doit calculer la longueur, me semble être une mise en pratique fort intéressante du théorème de Pythagore. De même l'enseignement des statistiques doit nécessiter des compétences en tableur (style excel) et même en programmation classique (traitement de tableaux, calcul de moyenne, affichage d'histogramme, etc.). Je pense réellement qu'il y a tout à inventer de ce côté-là. Et si cela intéresse quelqu'un qu'il n'hésite pas à se manifester.
Désolé d'avoir fait trop long et encore merci pour le retour.
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JohannC
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