Si je suis d'accord sur le fond, je crois que le tout reste un peu confus :
- * effectivement, les droits d'auteurs appartiennent... à l'auteur.... Donc, toute cession non exclusive de droit d'auteur (c'est ce qu'est une licence libre) ne peut être faite que par l'auteur ou son cessionnaire,
* Le journal a de très fortes chances d'être qualifié d'oeuvre collective, en ce cas les droits d'auteurs appartiennent à son instigateur-financeur. Si ce n'est pas le cas, il faut une cession de droit, sous licence libre ou non : de celle-ci dépendra la distribution du tout.
* Les droits perpétuels et inaliénables sont les droits moraux de l'auteur, là-dessus des analyses juridiques assez poussées se sont déjà prononcées (tu peux aussi trouver des dvlpmt intéressants sur Jurispedia, et prochainement sur Veni,Vidi, Libri: )
* Des contributeurs, seuls les créateurs ont des droits à opposer
* Avant que le procureur se saisisse pour une infraction au droit d'auteur... Je pense que la proportion pénale/civile doit être de 1/100, voire 1/500. Personnellement, je n'ai jamais vu le procureur se saisir de lui-même dans une telle situation (d'autant que ce n'est qu'un délit et non un crime),
* Au final, le mieux reste d'en parler tous ensemble, effectivement

Mben.
-
ben_san
- Messages : 1054
- Géo : Paris