[Résolu] Langage OpenOffice 2.2.1

[Thierry17]

Animateurs et lecteurs de Framasoft, bonjour !

Une simple question, peut-être stupide... suis-je obligé (ou est-ce préférable) d'attendre les mises à jour proposées au démarrage de l'ordi, ou est-il possible d'aller en chercher soi-même ? Mais alors où ? J'ai mal compris ou les dépôts Livna sont eux aussi mis à jour automatiquement ?

Exemple 1 : la version d'OOo proposée par Fedora7 est la 2.2.1. en anglais. Comment la faire passer en français ?

Exemple 2 : sous W, Firefox est en version 2007, sous Linux en 2005 :est-ce un pb ? Y a-t-il un risque ?

Ce qui participe à mon inquiétude : quand je fais [# yum update yum] il me répond :
Setting up Update Process
Could not find update match for yum
No Packages marked for Update

... et cette dernière ligne m'interpelle...


Merci d'avance pour vos lumières !


Thierry
32 ème jour sous Linux !

[Deleted121118]

Bonjour,

Pour ce qui est de FF, moi j'ai la version 2.0.0.6 d'un côté (KUbuntu) et sans doute la 2.0.0.7 de l'autre (XP). Cela ne pose aucun problème, cela doit surtout dépendre des distributions et de leurs mises à jour régulières.

Pour la francisation de OOo, une recherche donnera la réponse... des packs de langue sont disponibles, par exemple sur le site de OOo...

Pour la dernière question... ne connaissant par yum... je m'interroge uniquement sur la redondance dans la commande...

Cordialement.

[Thierry17]

Bon eh bien pour la mise à jour de FF, j'attendrai que Fedora me le propose.

Pour OOo, après avoir téléchargé le pack fr, la décompression s'est bien déroulée mais aucune idée d'où ça a pu se passer sur mon DDur...
Puis, nouvelle ouverture d'OOo, mais rien, aucun changement ! Aucune option dispo pour passer en français...

Ce n'est qu'en retournant dans "Enlever/ajouter des programmes" que je me suis aperçu que l'option -fr était devenue disponible. Donc en fait sur le site de OOo on ne télécharge pas l'option mais ce qu'il faut pour l'obtenir...

C'est Sioux !

Mais ça marche donc c'est impeccable !

Salut à tous,
Thierry