Venant de Win2k, j'ai passé le PC familial sous Ubuntu 7.04 tout en conservant (à mon corps défendant) un système Win2k opérationnel: certains ne *veulent pas* entendre parler d'autre chose que Windows.
Pour pouvoir accéder aux données, je suis donc forcé de laisser celles-ci sur une partition NTFS à laquelle accèdent les deux OS. Au moins depuis Feisty.

Ce matin, je laisse un PC parfaitement fonctionnel sous Linux et je m'en vais gentiment au boulot.
En mon absence, le PC est rebooté par un grand coup d'interrupteur on/off (en tous les cas, c'est ce qu'indiquent les logs).
Résultat au redémarrage: la partion OS et la partition DATA NTFS sont endommagées; plus moyen de booter Windows. Après avoir réparé la partition DATA avec ntfsfix, les données sont accessibles depuis Linux. Ouf! Mais l'OS est perdu: réinstallation nécessaire.
Moralité:
0. Était-ce une bonne idée de laisser les données sur une partition NTFS?
1. S'il est maintenant facile et sans problème d'accéder à une partition NTFS depuis Linux, existe-t-il une solution simple et sûre pour accéder aux mêmes données depuis Windows si elles sont sur une partition ext3? Et ceci, bien sûr, en lecture/écriture.
2. Le cas échéant, est-ce plus sûr que l'inverse?
3. Sous-question: ntfs-3g est-il suffisamment fiable, comme on le dit partout, pour supporter d'être bousculé comme indiqué? Une panne de courant, ça arrive aussi. Et c'est encore plus brutal. Pourrait-elle également être fatale au système NTFS sous Linux? (j'ai vu des centaines de fois des ordinateurs sous Win2k se faire rebooter par l'interrupteur sans souci de ce genre)
4. Faut-il envisager une thérapie familiale?
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ymai
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