Ebauche de théorie d'une créature du réseau social
////////////////////////////////
1.
////
Là où l’on pensait que le cerveau « créatif » avait depuis longtemps été séparé et relégué loin derrière les émotions primaires et le divertissement passif, l’évolution des technologies de communication et des possibilités de connexion à des réseaux numériques dans la vie de tous les jours l’ont en fait mis au premier plan des enjeux du marketing d’influence.
Depuis l’avoeu du concept de « temps de cerveau humain disponible à vendre » (par le PDG de TF1 en 2004 [1]), on n’était plus censé ignoré que le capital de mémoire et d’assimilation d’informations chez un.e individu.e était la cible des médias de masse, dont la survie dépend de l’ audimat et des recettes publicitaires proportionnelles (selon les publicitaires un message doit être vu en moyenne 7 fois pour être efficace).
Mais ce qui n’était peut-être pas clair encore c’était combien l’expression, l’imaginaire et la créativité personnelle des individu.e.s pouvaient être un moteur de rentabilité économique et publicitaire sur internet, alors même que semble s’être développé une culture de la gratuité des services et des offres, opposée en apparence aux grands principes commerçants qui quadrillent la réalité hors internet (« off line »).
(suite coupée par les modérateurs)
Texte entier sur:
(adresse considérée comme spam, supprimée par les modérateurs. Mais les courageux intéressés peuvent faire un coup de google pour retrouver l'adresse)
-
creaturereseausocial
- Messages : 2