En octobre 2005, la Cnil avait refusé d'accorder ce droit à la société de gestion des droits d'auteur, estimant que la surveillance des réseaux n'était « pas proportionnés à la finalité poursuivie » dans la mesure où elle dépassait le simple enjeu de la lutte contre la contrefaçon. Saisi sur la question, le Conseil d'état a pour sa part jugé en mai dernier qu'un tel dispositif de surveillance n'avait rien de disproportionné au regard du nombre de personnes échangeant des fichiers de manière illégale sur Internet.
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