Tout d'abord je me présente brievement à vous, je suis mineur, j'ai 15 ans et j'écoute pas mal de musique provenant de groupes Nordistes tels que nightwish, within temptation ou entwine.
Je n'ai pas les moyens, (Ou la possibilité) de faire importer ses musiques de ses pays (20€ l'album + les frais de ports + le fait que les groupes que j'écoute ne sont pas forcément très connus) et, du temps où c'était autorisé je téléchargais.
Malheuresement, depuis l'interdiction porté par la loi Dadvsi, je me retrouve privé d'accès à ces musiques, ou avec la possibilité de télécharger des morceaux illégalement et sans rémunération des artistes.
J'ai toujours été énervé par ce genre de petits trucs qui m'agace alors qu'il y a des solutions à portés de main et que personne ne semble y penser. (Quand je dis personne, je ne pense pas à ceux présent sur ce forum, mais aux gens trop nombreux ayant apporté leurs soutiens à cette loi)
J'ai donc décidé d'écrire un article portant sur la loi Dadvsi en expliquant ce qui ne vas pas dans cette loi (Difficile d'y voir quelque chose qui vas).
Etant un piètre écrivain, j'ai l'impression d'être passé à coté de la plaque sur certains sujets et je souhaiterais avoir votre avis pour savoir quoi ajoute/modifier à cette article.
Je remercie tout ce qui m'aideront à apporter le maximum de pièces à cette article afin de l'avoir le plus complet possible

Le piratage ne s’arrêtera pas. Pire, il ne diminuera que très momentanément avant de reprendre de plus belle. Aux Etats-Unis, après l’adoption du DMCA (frère aîné de notre DADVSI), le téléchargement illégal a connu une baisse très momentanée avant de repartir de plus belle. Les réseaux cryptés commencent à faire leur apparition. Ce sont toujours des logiciels de partage peer-to-peer qui en sont les moteurs, mais ils sont chiffrés : l’anonymat des internautes est garanti. Il est impossible de suivre quelqu’un à la trace sur ces réseaux. A quoi s’attendre d’autre lorsqu’on crache à la figure de tous ceux qui ne demandent qu’à faire vivre les artistes en payant leur dû ?
C'est sur ces mots que Michel Goldberg, un artiste, qui a réagit à la mise en application de la loi Dadvsi et on le comprends...
En effet, pour résumer, cette loi vise à interdire le téchargement via des logiciels de peer to peer.
Le premier problème qui se pose alors est la mise en application, peu réaliste, de cette loi qui touche des millions d'internautes.
Feras t'on comme au états unis des cas exemplaires afin de créer un effet de dissuasion pour ce qui télécharge?
Jusqu'à maintenant il semblerait que ce ne soit pas le cas, la loi Dadvsi étant en quelque sorte une loi fantôme frappant de temps en temps au hasard.
Malgré celà, elle reste nuisible, pour les contravenants se faisant prendre, les internautes privés d'une source de culture et bien sûr pour les artistes.
En effet, ces derniers ne recoivent aucun revenus de ces téléchargements illégaux, qui, bien qu'interdits, continue toujours malgré Dadvsi (Simplicité oblige)
Pourtant, il y aurait beaucoup d'alternatives possible à l'extreme que représente la loi Dadvsi, pour en citer quelques unes, on pourrait par exemple placer de la publicité sur des logiciels de téléchargement tels qu'Emule dont une partie des bénéfices serait reversé aux artistes. (C'est ce qu'à fait par exemple le site "radioblog")
On pourrait également mettre en place un systeme d'abonnement au peer to peer, dont une grande partie des revenus reviendrait aux artistes.
Dernière solution, on pourrait taxer les supports alternatifs tels que les mp3, cd vierges, youtube... qui tirent une grande partie de leurs revenus des téléchargement.
On peux alors se poser la question suivante: Pourquoi celà ne s'est pas fait?
L'urgence placé sur cette loi résume bien le problème, on n'a pas assez réfléchi à des solutions alternatives et on a confondu simplicité et réflexion.
De pljus, les positions récentes prouve qu'on est loin de chercher d'autres solutions à ce problème...
Pour ne prendre qu'un exemple, Nicolas sarcozy (Du temps où il était ministre) avait déclaré il y a quelques temps vouloir faire la "chasse au logiciel de téléchargement" et se doter d' « outils juridiques".
La ligue ODEBI avait alors souligné à juste titre « la grave incompétence d'un ministre qui n'est pas capable de comprendre que la technologie est neutre, et que seul l'acte individuel consistant à utiliser un logiciel d'une certaine façon peut être illicite. »
Cette loi peu réfléchi et baclé ne semble donc pas prêtes d'être levés, au grand regret de millions d'internautes qui auraient souhaités avoir la possibilité de télécharger légalement, tout en rémunérant leurs artistes favoris.
Nous esperons que la conscience de Renaud Donnedieu (Acteur de la loi Dadvsi) se porte bien et lui adressons tout nos remerciements au nom des internautes lesés, des artistes oubliés et des éditeurs de logiciels.
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nabst
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