Dans les faits, les malheureux qui ne sont pas en zone dégroupable (et 4 à 5 % des citoyens ne le seront sans doute jamais) n'ont aujourd'hui que la possibilité de devoir payer plus cher des connexions bas débit par modem 56 k que ceux qui ont droit à l'ADSL.
Quelques projets de développement via le Wi-fi pour les zones de faible densité de population sont surtout soutenus par des associations plutôt que par nos institutions.
Ne serait-il pas normal que les pouvoirs publics fassent pression sur les fournisseurs d'accès afin de baisser les prix sur les connexions bas débits (les infrastructures de ce type sont déjà amorties depuis longtemps ?
Jean-Paul
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Jean-Paul
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