comment ne pas
1° féliciter Google, partisan des formats ouverts (garantie de la liberté des utilisateurs), qui décide spontanément d'appliquer les mêmes principes aux portefeuilles d'informations qu'il collecte (c-a-d que Google compte d'avantage sur les mérites propres de ses services pour retenir ses utilisateurs que sur des méthodes d'emprisonnement artificielles)
2° dresser un parallèle entre cette politique voulue par Google (permettant de ne pas être prisonnier d'un fournisseur de logiciels), celle de la portabilité (imposée par le gouvernement) du numéro de téléphone (permettant de ne pas être prisonnier d'un fournisseur d'accès à un service de communication), et celle de l'interopérabilité (demandée par le public mais non voulue par les maisons ni les vendeurs de disques ni par le gouvernement) des fichiers musicaux (permettant de ne pas être prisonnier d'un vendeur, d'un éditeur ou d'un fabriquant - surtout quand il y a cumul de casquettes) ?
Ce manque de cohérence de la réglementation traduit elle l'ignorance du gouvernement ou des rapports de force (qui a dit lobby ?) différents ?
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antistress
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