Didier Lambert, le Président du Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises (CIGREF) dont la devise est "promouvoir l'usage des systèmes d'information comme facteur de création de valeur et source d'innovation pour l'entreprise" répondait aux Echos (édition du 5 juillet 2006) :
Q. Y a-t-il encore des points noirs dans les relations entre directeurs de systèles d'information (DSI) et founisseurs ?
R. (...) le problème le plus criant concerne les éditeurs de logiciels. Il faut sortir du piège qui veut qu'acheter uen solution coûte 100, mais qu'en changer coûte 500! C'est vrai en ce qui concerne Microsoft, c'est encore plus vrai avec les progiciels de gestion intégrés. Le client se retirouve captif, ce n'est pas tolérable.
Q. Comment sortir de cette situation ?
R. Il faut établir des critères de reversibilité et d'interopérabilité. cela passera par des mesures reglementaires à Bruxelles. Et nous comptons faire du bruit auprès du Medef, de l'Afai, l'Association française de l'audit et du conseil informatique, ou d'EuroCIO, le réseau européen de directeurs informatiques.
Q. Y a-t-il encore des points noirs dans les relations entre directeurs de systèles d'information (DSI) et founisseurs ?
R. (...) le problème le plus criant concerne les éditeurs de logiciels. Il faut sortir du piège qui veut qu'acheter uen solution coûte 100, mais qu'en changer coûte 500! C'est vrai en ce qui concerne Microsoft, c'est encore plus vrai avec les progiciels de gestion intégrés. Le client se retirouve captif, ce n'est pas tolérable.
Q. Comment sortir de cette situation ?
R. Il faut établir des critères de reversibilité et d'interopérabilité. cela passera par des mesures reglementaires à Bruxelles. Et nous comptons faire du bruit auprès du Medef, de l'Afai, l'Association française de l'audit et du conseil informatique, ou d'EuroCIO, le réseau européen de directeurs informatiques.
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