Je trouve aussi que ce point de vue est quand même un peu gonflé, mais bon, il ne faut pas décourager les bonne volontés, même tardives
Je lui ai laissé un commentaires, mais comme c'est modéré, j'ai des doutes sur la publication.
Je le laisse ici au cas où ...
Bonjour,
Ce texte sur votre blog est tout à votre honneur. Mais il arrive peut être un peu tardivement. En substance je reprendrai ce qui ressort des différents commentaires déjà postés : Que faisiez vous lorsqu'il était (peut-être) encore temps d'intervenir ?
Le peut-être est tout à fait volontaire. N'oublions pas que cette loi a été discutée en 1ere lecture les 22 et 23 décembre 2005, en urgence, et devant une assemblée quasi déserte.
De là à conclure qu'il y avait une volonté de faire passer ce texte en soulevant le moins de vagues possibles est un pas que des milliers d’internautes ont déjà franchi.
Internautes qui sont aussi des électeurs, il est utile de rappeler parfois des évidences.
Ce projet de loi, et la manière dont il est passé, pointe des dysfonctionnements très inquiétants :
Une méconnaissance totale des problèmes techniques liés aux DRM et leurs interactions avec les logiciels libres et le respect de la vie privée.
Lorsque l’on sait que le but premier des députés est quand même de représenter leurs électeurs, il y a de quoi frémir, tant ce texte va à l’encontre de son but officiel : La protection des artistes et de leurs publics.
Le sentiment, partagé par un nombre grandissant d’internautes, est que cette loi protége surtout les intérêts de quelques grands groupes financiers.
Je pense qu’en tant qu’homme politique vous devriez être attentif à ce qui, à mon sens, est en train de se dessiner depuis quelques années. Le sentiment que la classe politique est inféodé à ces groupes financiers et que ce sont leurs intérêts qu’elle défend, en lieu et place de l’intérêt public.