Ce qui m'inquiète, c'est qu'un jour, les gens basculeront du "côté obscur", et là ça sera grave.
En attendant, ils considèrent le web comme un moyen d'emm... nos dirigeants. C'est tout aussi dommage.
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Invité
Après 15 années d’existence, le forum historique de Framasoft, ferme ses portes.
Pour les nostalgiques et les curieux, il reste toujours possible de consulter les discussions mais c’est maintenant le forum
Framacolibri qui prend la relève.
Si vous avez des questions, on se retrouve là-bas…
galawa a écrit:
En attendant, ils considèrent le web comme un moyen d'emm... nos dirigeants. C'est tout aussi dommage.
galawa a écrit:Je n'ose vous rappeler que un certain "non" à une certaine constitution n'a rien changé non plus.
Ce qui m'inquiète, c'est qu'un jour, les gens basculeront du "côté obscur", et là ça sera grave.
En attendant, ils considèrent le web comme un moyen d'emm... nos dirigeants. C'est tout aussi dommage.
Saint-Chinian a écrit:galawa a écrit:
En attendant, ils considèrent le web comme un moyen d'emm... nos dirigeants. C'est tout aussi dommage.
Pas compris, pourrais-tu développer je te prie ?
arfelas a écrit:galawa a écrit:Je n'ose vous rappeler que un certain "non" à une certaine constitution n'a rien changé non plus.
Ce qui m'inquiète, c'est qu'un jour, les gens basculeront du "côté obscur", et là ça sera grave.
En attendant, ils considèrent le web comme un moyen d'emm... nos dirigeants. C'est tout aussi dommage.
je n'ai pas dis que le non avait changé quelque chose, mais je suis sur qu'il a évité bien pire...
Et tu fais de rapides raccourcis entre le "non" et le cotés obscur...malsain ça...
Encore une fois faut pas confondre, le web je ne m'en sers pas pour emmerder les dirigeants, par contre eux veulent s'en servir...
Je ne suis pas estonien, pas plus que j'y ai mis les pieds mais bon, j'ai trouvé que le parlement estonien a garanti que l’accès à l’internet était un droit constitutionnel.Baptiste a écrit:attendez le point internet gratuit est totalement irréaliste.
galawa a écrit:
Le web :
Je conçois que, comme je le fais, certaines personnes se servent du web comme d'un outil d'apprentissage, de discussion, et d'enrichissement personnel (eu plan intellectuel, bien sûr..), mais il faut reconnaître que bon nombre d'internautes se sont abonnés, soit pour ne pas payer l'abonnement France Télécom et téléphoner en illimité, soit pour pour voir charger ce qu'ils veulent (sans compter le tchat ou le cul).
Et puisqu'ils "ont payé pour avoir le haut débit donc télécharger", ils ne comprennent pas pourquoi c'est interdit.
Baptiste a écrit:attendez le point internet gratuit est totalement irréaliste.
Arretez avec votre Free, mimo, les BLR que les villes mettent en place ou non.
Tout ca n'est pas gratuit.
Le mythe n'est pas celui que l'on pense
Mythe : légende destinée à donner une explication au monde et généralement pourvue d'un sens moral. Le mythe du "tout-gratuit" n'existe pas. Il y a des internautes hors-la-loi, c'est tout.
Déclarer que les programmes d'échange sur Internet sont la cause directe de l'effondrement de l'industrie culturelle revient à déclarer qu'en écrivant E=mc2, Einstein se rendait directement responsable de l'apparition de la bombe atomique. Les composants logiciels des applications peer-to-peer ne sont que des éléments indispensables au fonctionnement des réseaux, c'est-à-dire... d'Internet. Vivendi a failli se couvrir de ridicule en réclamant l'interdiction pure et simple de la conception et de l'utilisation de tout logiciel peer-to-peer: certaines composantes de ces derniers sont utilisées dans les infrastructures permettant de vendre de la musique en ligne !
Comme si le seul indicateur de la santé de notre culture était la vente des disques. Comme si l'unique cause de la chute de ces ventes était le téléchargement illégal, dans le seul but d'emmerder les maisons de disques et la SACEM. Comme s'il n'y avait pas un cruel défaut d'offre. Comme si le nombre des titres diffusés sur les grandes radios nationales ne se comptaient pas sur les doigts d'une main. Comme s'il n'y avait pas aussi une dramatique augmentation du coût de la vie.
Le vrai problème, à mes yeux, c'est que nous ne savons absolument rien de l'impact réel du téléchargement massif sur le chiffre d'affaires de l'industrie culturelle. Si les prétendues études sont nombreuses, elles sont extrêmement contradictoires et par nature peu fiables car leurs commanditaires sont presque systématiquement partie prenante aux intérêts représentés. Je n'ai pas connaissance d'une étude sérieuse, c'est-à-dire menée sur le long terme, avec les moyens adéquats et par des organismes scientifiques indépendants.
Combien de fois n'ai-je pas pu vérifier qu'un grand adepte des réseaux peer-to-peer est aussi un très grand consommateur de disques ! Ce qui pour moi soulève une question fondamentale : doit-on interdire à une personne qui atteint le maximum de sa capacité d'achat de partir à la pêche virtuelle sur les réseaux d'échange ? Puisque de toutes manières, cela ne changera matériellement pas d'un centime les revenus des auteurs... C'est même une question éthique de taille : est-ce inadmissible dans un modèle économique où l'on a droit à plus si et seulement si on a plus d'argent ?
Au moment où j'écris cette lettre, je découvre le site de cette chanteuse canadienne qui propose une expérience pour le moins surprenante : en résumé, vous avez le droit de télécharger ses titres et de payer ce que vous voulez quand vous le voulez. Les résultats laissent rêveurs : imaginez que dès à présent, le montant moyen payé par internaute est supérieur à ce qu'un consommateur aurait payé sur iTunes...
Téthis a écrit:Je ne suis pas estonien, pas plus que j'y ai mis les pieds mais bon, j'ai trouvé que le parlement estonien a garanti que l’accès à l’internet était un droit constitutionnel.Baptiste a écrit:attendez le point internet gratuit est totalement irréaliste.
Peut-être ne sont-ce que de stupides politiciens qui n'ont rien compris comment fonctionne le nouveau monde après tout ?
galawa a écrit:
Cette "gratuité" se retrouvera soit dans les impôts, soit dans les taxes, soit dans un cadeau fiscal (dont sur le deniers des citoyens) envers les sociétés qui entrerons dans le système du "gratuit"...
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