intercepte a écrit:C'est la loi virgin en faite et en cadeau sont catalogues à France Telecom...
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Laza
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intercepte a écrit:C'est la loi virgin en faite et en cadeau sont catalogues à France Telecom...
Laza a écrit:?????????
Virgin fait 4 propositions pour relancer le marqué du disque
Après plusieurs semaines de débat houleux sur le projet de loi DADVSI, Virgin fait quatre propositions pour développer le marché de la musique, en et hors
Le 21/03/2006 à 10:59
.../...
"Nous sommes convaincus que les impacts de la dématérialisation n'ont pas fini de se faire sentir mais nos magasins continueront d'exister et les produits physiques et numériques coexisteront." explique Jean-Noël Reinhardt, Président de Virgin Megastore, qui a donc décidé de faire quatre propositions pour relancer ce marché.
Le groupe confirme tout d'abord son soutien au projet de loi DADVSI, qui "offre un cadre juridique qui protège les artistes". Jean-Noël Reinhardt propose également une baisse des prix des CD, qu'il propose à 10 euros, afin que ces derniers redeviennent moins chers que les DVD, dont le prix moyen se situe désormais à 12 euros.
La troisième proposition concerne les dispositifs de protection des contenus DPC (DRM) dont Virgin souhaite l'interopérabilité. Après un premier bras de fer juridique perdu contre Apple, Virgin devrait à nouveau demander au groupe américain la possibilité de proposer des titres en téléchargement avec la technologie Fairplay. Enfin, suite à l'exclusivité proposée par Warner à France Telecom sur le dernier album de Madonna, Virgin propose l'accès simultané de tous les distributeurs à tous les catalogues…
Tout en anticipant une baisse de 20% du marché de la musique d'ici 2010, Virgin espère que ces propositions permettront de relancer le marché, en particulier sur le web qui pourrait alors peser 150 millions d'euros sur un total de 900 millions d'euros avec une part de marché attendue de 20% pour VirginMega, site de téléchargement du groupe.
Jérôme Bouteiller
http://www.neteconomie.com/perl/navig.p ... 0321105941
Saint-Chinian a écrit:"Nous sommes convaincus que les impacts de la dématérialisation n'ont pas fini de se faire sentir mais nos magasins continueront d'exister et les produits physiques et numériques coexisteront." explique Jean-Noël Reinhardt, Président de Virgin Megastore
Jean-Noël Reinhardt propose également une baisse des prix des CD, qu'il propose à 10 euros, afin que ces derniers redeviennent moins chers que les DVD, dont le prix moyen se situe désormais à 12 euros.
La troisième proposition concerne les dispositifs de protection des contenus DPC (DRM) dont Virgin souhaite l'interopérabilité. Après un premier bras de fer juridique perdu contre Apple, Virgin devrait à nouveau demander au groupe américain la possibilité de proposer des titres en téléchargement avec la technologie Fairplay. Enfin, suite à l'exclusivité proposée par Warner à France Telecom sur le dernier album de Madonna, Virgin propose l'accès simultané de tous les distributeurs à tous les catalogues…
Encore la faute au p2p .....Tout en anticipant une baisse de 20% du marché de la musique d'ici 2010,
Interopérabilité : l'Europe ne suivra pas la France ?
Publié le Jeudi 30 mars 2006, à 10H51 (+0200 GMT)
Par Guillaume Champeau
Selon une analyse du cabinet JP Morgan, qui cherche à rassurer les investisseurs d'Apple, le Danemark pourrait être le seul pays européen à vouloir suivre la démarche des députés français en faveur de l'interopérabilité.
La question de l'interopérabilité et l'adoption par l'Assemblée Nationale du nouvel article 7 de la loi DADVSI ont suscité beaucoup d'émotion dans les milieux industriels. Les récentes déclarations du ministre de la Culture danois ont fait craindre un effet dominos à ceux qui tirent profit de la fermeture des systèmes de DRM. Heureusement pour eux, le cabinet d'analyse financière JP Morgan est là !
Complétant un rapport de 51 pages remis à ses clients l'année dernière, le cabinet s'est voulu rassurant quant à l'impact de la loi française sur l'équilibre du marché. "A ce stade, le Danemark est le seul pays qui a exposé son soutien pour la loi française, et il semble que l'Union Européenne ne partage pas encore cette opinion", peut-on ainsi lire dans le rapport cité par AppleInsider. Les analystes de JP Morgan sont convaincus qu'Apple a compris la leçon de l'échec du Mac face au PC, et qu'il ne compte pas bâtir à nouveau son marché sur une fermeture totale à la concurrence. La preuve, implacable, est la suivante : "L'iPod d'Apple est en fait assez 'ouvert', puisqu'il supporte les formats de compression musicaux MP3, AAC et WAV". Implacable... sauf que.
JP Morgan oublie totalement l'autre côté de l'histoire. Les formats cités ne peuvent pas être encapsulés dans un DRM autre que FairPlay, et Apple garde jalousement l'exclusivité de FairPlay pour iTunes. Et puisque les maisons de disques exigent un DRM en tapant des pieds, les plateformes concurrentes d'iTunes ne peuvent proposer à leur client que le format WMA de Microsoft... illisible sur l'iPod, qui domine pourtant 80% du marché. La loi française n'a d'autre but que de permettre aux plateformes concurrentes d'accéder au format FairPlay pour proposer eux-aussi de la musique sous DRM qui soit lisible sur l'iPod. Elle permettra également aux éditeurs de logiciels libres de proposer en toute légalité des logiciels capables de déchiffrer et d'interopérer avec les formats de DRM réservés pour le moment aux systèmes propriétaires.
Mais que les financiers se rassurent, nous dit JP Morgan, au pire du pire Apple se retirera du marché de la musique en ligne dans notre cher hexagone. Le cabinet "suspecte que la France compte pour moins de 1 ou 2 pourcents du chiffre d'affaires total d'Apple sur la musique". Le retrait d'Apple serait indolore pour ses finances, surtout que la firme à la Pomme pourrait continuer à vendre librement ses baladeurs iPod ou ses ordinateurs Mac.
©ratiatum
Le cabinet JP Morgan présente une analyse tronquée de Dadvsi
Par la rédaction
ZDNet France
Jeudi 30 mars 2006
La France va-t-elle s'isoler sur la scène internationale si le Sénat maintient en l'état le projet Dadvsi? «Actuellement, le Danemark est le seul pays à avoir montré son soutien pour la loi française, et il semble que l'Union européenne ne partage pas encore l'opinion [française]», souligne Bill Shope, analyste chez JP Morgan.dans une note destinée à ses clients, qu'AppleInsider s'est procurée.
Selon Shope, les craintes nées de la polémique avec Apple (autour de l'interopérabilité des formats) n'ont pas lieu d'être, car le système d'Apple n'est pas fermé. L'iPod permet de lire les formats AAC (avec ou sans le système anticopie DRM Fairplay), mais aussi MP3 et WAV. Ce qui permet de graver ses CD et de les écouter au format MP3 sur l'iPod, et même de les insérer dans une playlist gérée par iTunes.
Et l'analyste de poursuivre avec cette conclusion plus qu'édifiante: «Tout client d'iPod qui n'est pas satisfait du verrouillage DRM ou de l'achat en ligne de musique peut simplement acheter sa musique sous forme de CD ou la télécharger à partir de sites peer-to-peer». C'est oublier que ce genre de pratiques (téléchargement ou détournement de DRM) peut, dans certains cas, être illégal, selon le texte français.
Fort de cette analyse tronquée, le représentant de JP Morgan se veut rassurant pour l'activité d'Apple et considère que la France n'est pas stratégique. Apple peut la quitter sans risque puisqu'elle ne représente que «1% à 2% des revenus musicaux de la société». «Même si Apple arrêtait sa plate-forme de téléchargement en France, le groupe continuerait malgré tout de vendre des iPods, des Mac et d'autres produits», garantit-il.
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Tuesday, June 6th
Norway challenges Apple's iTunes ToS
A consumer advocate group has won a preliminary ruling that may force Apple to change its iTunes terms of service (ToS) in Norway. Earlier this year, the Consumer Council of Norway lodged a complaint with the Consumer Ombudsman, a government representative, ***spam*** iTunes Music Store in Norway. Alleging breach of fundamental consumer rights, the group argued that Apple terms of service were in violation of Section 9a of the country's Marketing Control Act and also said that iTunes' digital right management violated consumer protection laws. A decision, however, was not yet made with regards to iTunes' DRM and a few other issues. The group, however, claimed victory on several points and said that the ruling would also apply to other digital music services, perhaps signaling a movement toward greater consumer rights.
"This is a great victory for the digital rights of Norwegian consumers," the group said. The decision clearly states that the terms of agreement demanded by iTunes are unreasonable with respect to the country's consumer protection laws.
The group argued that Apple must be held liable for security holes and other bugs that could be exploited by hackers or computer viruses.
"Consumers are barred from lodging compensation claims if iTunes' software creates security holes that can be exploited by computer viruses," a group representative said. "This is a very real issue, which was most recently highlighted by the case of Sony BMG's latest DRM, XCP," referencing the recent security hole introduced by Sony on some copy-protected CDs.
Specifically, users can not be forced to give consent to be governed by English Law when running iTunes software in Norway and Apple cannot disclaim responsibility for any damage caused by its software. In addition, the decision also found said that Apple could not alter the terms of service at anytime, a disclaimer the company includes in its standard terms of service before running iTunes software.
The group said that iTunes must now alter their terms and conditions to comply with Norwegian law by the 21st of June.
"We are very satisfied with the decision. There is a general tendency for consumers to meet grossly unreasonable agreements when they download files with cultural content. It is therefore positive that the Ombudsman gets a grip on this so that consumer interests are also protected when such material is downloaded," senior advisor Torgeir Waterhouse says.
A ruling, however, was not made on several important issues that were raised by the group in its initial complaint. Waiting on a response from Apple, the Ombudsman, a local judge of sorts, has not ruled whether Apple must include a "cooling-off" period when purchasing from iTunes and whether Apple's geographic limitations are reasonable under the country's laws. Currently, Apple says that all sales are final.
The group is also pushing for a ruling on iTunes' DRM, which has faced a backlash in other European countries such as France. Earlier this year the country pushed for a law that would force Apple to open up its iTunes FairPlay DRM to competitors, a move that industry analysts say would likely result in Apple closing its French iTunes Music Store.
Quel avenir pour la redevance pour copie privée en Europe?
Par Estelle Dumout
ZDNet France
Mardi 6 juin 2006
Société - Les récentes déclarations de la Commission européennes inquiètent les sociétés d’artistes et d’interprètes. Elles craignent que la légalisation des DRM entraîne la suppression de la redevance pour copie privée, qui leur est reversée.
Les sociétés d'artistes interprètes, d'acteurs et de musiciens s'inquiètent, à travers toute l'Europe, de l'avenir des redevances pour copie privée et de la généralisation des DRM (systèmes de gestion numérique des droits). Un communiqué commun signé de l'Aepo-Artis, qui regroupe 27 sociétés dans 21 pays européens, de la Fédération internationale des acteurs (FIA) et de la Fédération internationale des musiciens (FIM) tire la sonnette d'alarme.
Aujourd'hui, dans la plupart de ces pays, un pourcentage du prix de vente des CD et DVD vierges, des baladeurs numériques et parfois même des disques durs, est reversé aux sociétés d'artistes, pour les dédommager des copies privées d'œuvres protégées réalisées sur ces supports. Mais «il y a peu, la Commission européenne a remis publiquement en question le système [de redevance pour copie privée] et a exprimé sa volonté d'y apporter des changements significatifs, voire d'y mettre un terme», expliquent les trois organismes.
«Toute limitation du système actuel nuirait au secteur plutôt qu'accompagner son développement», affirment-ils. Et les premiers concernés sont les artistes interprètes: environ 35% des sommes collectées par les sociétés les représentant proviennent des redevances pour copie privée, selon les données de l'Aepo-Artis.
Le projet Dadvsi légalise les DRM
Or ce que craignent en particulier les signataires, c'est que les redevances soient remplacées par les DRM. Car avec la transposition généralisée de la directive européenne de 2001 sur le droit d'auteur, ces systèmes de contrôle vont être légitimés. C'est le cas en France, avec le projet de loi Dadvsi (droit d'auteur et droits voisins dans la société de l'information*).
Il précise notamment que le contournement des DRM intégrées à un support numérique est interdit. Dans la dernière version du texte, les sénateurs n'ont en outre pas souhaité définir un nombre minimal de copies privées autorisées. Ce qui signifie qu'une DRM pourrait complètement bloquer la copie, en particulier sur les DVD.
Dans ce contexte, les associations de consommateurs et les opposants aux DRM ont fait savoir qu'ils exigeront une révision à la baisse des redevances pour copie privée sur les supports numériques, voire leur suppression.
C'est cette perspective qui alarme l'Aepo-artis et ses consoeurs. «Verrouiller les CD et les DVD ou le contenu en ligne n'est ni réaliste, ni efficace, ni nécessaire», soulignent-elles. «Le développement des mesures techniques de protection (...) a déjà prouvé qu'il était préjudiciable à la vie privée et la liberté individuelle [des consommateurs]».
Exemple avec Sony-BMG: la maison de disques s'est fait taper sur les doigts aux États-Unis pour avoir utilisé des DRM installant un rootkit, un petit programme invisible sur le PC des utilisateurs, qui peut éventuellement constituer une porte d'entrée pour les pirates informatiques.
«Le développement des DRM, sans la consultation ni la coopération des organisations d'ayants droit ne peut pas remplacer la rémunération pour copie privée», concluent les trois organismes.
(*) Le texte Dadvsi a été adopté par l'Assemblée Nationale et le Sénat, et doit désormais passer en commission mixte paritaire avant de pouvoir être validé
arfelas a écrit:j'veux être norvégien!!!
C'est pas là-bas aussi que les membres du gouvernenements vont siéger en transport en commun et non voiture avec chauffeur qui brule les feux rouges au frais du contribuable?? Il me semble...
Les pays scandinave sauveront ils le monde?
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