Mar 20 Déc, 2005 15:30
J'ai la flème de chercher, mais une bonne partie. Anaïs est chez Sony, par exemple (tiens je vois que quelqu'un l'a fait pour moi). Bon, ils passent souvent par des petits labels pour débuter, mais il y'a aussi le phénomène de regroupement des Majors, qui n'existait pas dans les années 50-70. Maintenant, il y'a plein de sous label qui dépendent des Majors, et qui leur servent un peu d'incubateur.
De toute facon les Majors sont de plus en plus frilleuses sur les nouveaux talents, pas tant a cause du piratage, mais parce que fabriquer un "artiste" en télé réalité est bien plus rentable (et oui, le public fait l'étude de marché, et paye même par SMS pour y participer, concept marketing génial). Mais dans toutes les société qui dépendent d'elles, il y'a des gens passionnés par la musique, qui cherchent vraiment de la nouveauté. Ces entreprises sont tellement tentaculaire qu'entre ce que fait la tête et ce que fait la queue...
Mais ça n'empèche pas les petits labels d'exister, eux ont compris comment utiliser internet, j'ai découvert le maximum kouette par un mp3 qui tournait, diffusé par leur label.
Et je vais conclure sur une banalité, Coluche disais "Et dire qu'il suffirais que les gens n'achètent pas pour que ça ne se vende pas". C'est bien la tout le problème, si le public veux de la starac, que veux tu y faire. Et j'insiste, il y'avais énormément de daubes vendus aussi dans les années 50-70, que certains considèrent comme glorieuses.