Or, parmi les exemples qui m'ont été donné (merci

Or une grande partie de l'argumentation en faveur du libre provient justement, de cette liberté d'usage, qui n'est "qu'une" liberté légale puisque tout considéré une fois qu'on a le code, le reste ne relève techniquement que de l'envie et de la compétence de chacun. Cette considération de la liberté est donc inscrite dans le cadre légal de la société, chose qui ne peut pas exister en considérant le caractère limité d'un objet matériel.
Le raisonnement parait donc sans appel mais j'aimerai sonder les limites du modèle, parce qu'entre le logiciel et l'écrou il existe quantité d'objets qui sont caractérisés à la fois par leur valeur en tant qu'objet, mais également par leur valeur technique, technologique, esthétique ... bref qui relèvent à la fois d'un travail de l'esprit et d'un travail physique. Mais alors qu'on considère pour un logiciel qu'il puisse être libre en tant que tel, cette idée n'est pas appliquée à un objet puisque seul les processus de fabrication peuvent être identifiés, en tant que relevant purement de l'esprit, à un processus similaire à celui du logiciel. J'ai donc l'impression qu'on se limite de facto à une définition limité à ce type de processus.
Comme le souligne JosephK, on peut modifier le vivant :p Je n'ai cependant pas l'impression que ceci soit dans la même ligne que la philosophie du libre :p
Je cherche donc justement à définir d'autres règles qui pourraient amener à considérer qu'un objet est libre en tant qu'objet, si toutefois c'est possible

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Shimegi
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