Page 2 sur 9Précédent 1, 2, 3, 4, 5 ... 9 SuivantLes DRM et le consommateur ! [MàJ (-> Fil sur les DRM) ]

[Roux]

Tu en as bave, mais tu as meme gagne le droit d'etre linke en revue de presse sur StopDRM!

[antistress]

arrête, je me fais pipi dessus

[Saint-Chinian, parti]

merci, c'est que j'en en ai bavé pour taper tout ça!

Je n'en ai pas doûté pas un seul instant.

PS : m'accuser de tous les maux... gare à la diffamation quand même

J'ai volontairement utilisé le mode subjonctif, en ce qui concernerait une accusation éventuelle de ma part.

[antistress]

Le réchauffement climatique, j'y suis (presque) pour rien par exemple!

Rassure toi, j'ai surtout retenu le qualificatif "excellent"

[Saint-Chinian, parti]

Rassure toi, j'ai surtout retenu le qualificatif "excellent"

Et c'était sincère !

[Mikelenain]

Et les DRM ça ne plaît pas quel que soit le nom qu'on puisse leur donner.

ça serait si beau ... malheureusement palladium est en train de passer grâce à un changement de nom
(je vous rappelle que paladium => NGSCD est intégré à vista via les wga ... )

[Christian77320]

J'accepterais les DRM si:

- ils respectent la vie privée et ne transmettent aucune donnée personnelle à un serveur distant (mais ok pour un traitement local des autorisations);
- ils permettent de transférer les contenus sur n'importe quel baladeur (mais ok si le transfert n'est pas possible sur le baladeur d'un pote);
etc.

Bonjour,

La question est mal formulée.

Est ce que je suis prêt à accepter les DRM Réponse : NON

En espérant t'avoir aidé.

[dupont54]

Pour moi, un DRM, c'est une bombe à retardement : le truc est fait pour fonctionner, mais pas tout le temps, et donc tôt ou tard (disparition ou jm'enfoutisme de l'éditeur, renouvellement de matériel, etc...), l'accès à l'oeuvre va devenir impossible. Le problème n'est pas de savoir SI le DRM va me pourrir la vie, mais QUAND.
Partant de ce constat, je ne vois qu'une seule situation où le DRM est acceptable : lorsqu'il y a il y une limite temporelle clairement identifiable.
Pour toutes les offres type x€/mois, pas de problèmes : il y a égalité de pouvoir entre le fournisseur et l'acheteur. Si l'acheteur paye plus, le fournisseur coupe les droits. Mais réciproquement, si le fournisseur a un DRM foireux, l'acheteur peut vite arrêter de payer. Le fournisseur est forcé de faire des efforts pour garder ses revenus, alors que dans le cas de la vente, ou la transaction financière est totalement antérieure aux usages, il est beaucoup trop tentant pour le fournisseur de se dédouaner, de se cacher derrière son support technique et des concepts ridicules comme "nombre d'activations maximal" ou "incompatibilités de votre platine".
Un autre cas tolérable serait celui du "temporairement gratuit".

Maintenant, même dans ces cas-là, il y a d'autres garanties fondamentales à apporter :
- respect de la vie privée
- sécurité informatique
- sécurité juridique
Pour tout ça, il n'y a pas de miracles, il faut que les protocoles et techniques employées soient ouverts et auditables.
Même pas besoin de garantir l'interopérabilité : si l'abonné constate que ça marche pas sur son nouveau jouet, il arrêtera son abonnement, c'est aussi simple que cela.

Pour tout ce qui est vente sans limitation explicite et précise de durée, aucun DRM n'est acceptable.

[François Battail]

En gros, il s'agit de dresser le visage du DRM "acceptable" tout en restant un tant soit peu efficace.

Orienté comme ça, cela revient à poser la question : « Selon vous quelle serait la température maximale supportable par la grenouille, chère grenouille ? ».

Ce qui suppose que nous acceptions et reconnaissions implicitement que les DRM sont nécessaires. Et là il y a un petit problème. Tout d'abord sous l'angle technique. La cryptologie démontre que les DRM ne sont qu'une vaste fumisterie : ils ne peuvent pas fonctionner sauf à verrouiller l'ensemble de la chaîne ce qui est impossible - en tous cas si nous sommes encore en démocratie -. D'un point de vue marketing le DRM est totalement contre-productif puisque l'argumentaire est alors celui du moins pire : « Mon DRM vous em**rde moins que celui du concurrent », c'est pas franchement vendeur... D'un point de vue économique le DRM fragmente artificiellement le marché pour espérer conforter quelques oligopoles tout en ayant des effets collatéraux négatifs sur le public et les artistes, cette situation est intenable sur la durée. D'un point de vue social et culturel c'est simplement une régression sans précédent : faire d'une oeuvre immatérielle un objet périssable !

Les DRM n'ont aucune justification tangible et vont à contre-sens du progrès, juste un anachronisme. Ils sont mort-nés.

Les DRM ne sont pas acceptables (point).

[damj]

Les DRM ne sont pas acceptables (point).

Le fin mot est écrit.

(j'aurais pu écrire "+1", mais sur Framagora il paraît qu'on fait des phrases )