LS. a écrit:yoyo08 a écrit:Franchement les mobilisations en ligne c'est bien pour lancer le truc mais si ça sort pas du réseau ça sert pas à grand chose. Ca touche que les conernés, ça reste invisible à la plupart non faut vraiment agir réellement.
+1
le net est ok pour diffuser l'info ; il est important de continuer à envoyer des mails à tous les politiques (députés, sénateurs, ministres, élus locaux) et des dossiers d'info réactualisés
il reste encore les concernés à toucher = les utilisateurs de fichiers numériques, ça fait du monde.
pour les actions terrain il y a pas mal de collectifs de mondes différents à faire monter ensemble (cf collectifs signataires de la pétition)
Pas seulement. Chacun de nous n'a connaissance ou n'a en mémoire qu'une petite partie des infos traitant du sujet DADVSI, ce à un moment donné.
Comme tu dis, le net est beaucoup plus complet au niveau info, puisqu'il met à la disposition de tous l'ensemble des connaissances de chacun,
et chacun de nous profite alors de ces informations et enrichit ses connaissances personnelles sur le sujet (principe de l'enrichissement mutuel).
Une fois nos connaissances sur le sujet un peu disons "améliorées", ou parfaites, il me semble nécessaire de réaliser des synthèses à partir les différentes idées à retenir (idées sur lesquelles il y a un consensus) publiées ici ou là ...
Ensuite il faudra absolument discuter de ces idées début janvier avec nos députés. N'oublions pas que ceux-ci n'ont pas non plus connaissance de tout, et qu'ils représentent avant tout le citoyen.
Donc, de facto, pour être bien représenté par son député, il faut construire ses idées, les travailler, les synthétiser, et enfin les arguementer auprès de lui.
Plus nous adoptons cette démarche, plus nous augmentons la capacité de jugement nécessaire au vôte d'une loi.
QUelque part, c'est nous qui vôtons, de manière indirecte, à travers le vôte direct de nos députés.
J'oserais hasarder que ne pas se faire cette démarche envers ses députés, lorsqu'un sujet ou un projet de loi nous concerne,
c'est comme vôter blanc ou même pire: ne pas vôter.
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Marc