laurent2 a écrit:desesperatly a écrit:
Les programmes dont il est question sont les programmes audiovisuels (voir l'article L. 216-1 du CPI) ; pas les programmes d'ordinateur.
Alors, bien sûr, on peut brôder comme laurent2 sur les intentions de nos "législateurs énarquo-totalitaires" et sur des affirmations fondées sur on ne sait trop quoi. Le mieux est peut-être, d'abord, de prendre le temps de la compréhension et d'ouvrir un Code de la propriété intellectuelle...
en fait il faut comprendre que
- un "programme audiovisuel" c'est un programme éventuellement interactif et à base d'instructions numériques, qui est utilisé principalement pour les loisirs et qui affiche des formes et des images sur des écrans vidéos de consoles de jeux ou d'ordinateurs.
- un "progiciel" c'est un programme interactif, utilisé principalement à titre professionel, et qui affiche le résultat de ses calculs sur des écrans d'ordinateurs ou de consoles graphiques.
par un exemple un "simulateur de vol", c'est apparement un programme audiovisuel le Dimanche quand on l'utilise pour jouer et çà devient un progiciel le Lundi quand on l'utilise pour enseigner le pilotage des petits avions.
C'est curieux comme quoi le fait de rétablir certaine vérité provoque des réactions bizares de certaines personnes. Je suppose que l'énarquo-totalitarisme est un club assez agréable à fréquenter, où il fait bon chaud et dont les membres ont l'habitude de se serrer les coudes....
Et encore une fois, il faut comprendre que la où là loi parle de "programmes", ce n'est pas du tout ce dont tu parles.
La question n'est pas de savoir comment tu définis les mots, mais de savoir comment la loi les définit (puisque c'est de cela qu'il s'agissait).
Ensuite, tu peux continuer à définir tout ce que tu veux de la façon que tu veux. Mais ça n'a strictement aucune valeur juridique...
PS: non non, le droit n'est pas un club énarquo-totalitariste (on atteint les cimes de la pensée humaine...).
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