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boarf a écrit:Sub a écrit:Iv6 est fort, une adresse par atome ...Mais c'est vrai qu'avec l'electronique moléculaire ...
Il existe une parade redoutable aux RFIDs: la feuile d'alu. Bientot vendue uniquement sur ordonnance ?
On estime à 10^80 le nombre d'atomes dans l'univers... avec ses 10^38, IPv6 en est encore loin... et de toutes façons, ce serait aussi inutile qu'impossible.
Euh... ça marche vraiment le coup de la feuille d'alu ? (que je prépare des stocks...)
Sub a écrit:10^80 n'est-ce pas plutot le nombre de particules élémentaires ?. Il y a en fait trés peu d'atomes dans l'univers. et même dans les étoiles il n'y a qu'une purée de noyaux et d'électrons. :-)
Bourgpat a écrit:Le seul interet du RFID est la gestion des inventaires.
Les puces RFID n'ont plus rien d'une arlésienne aujourd'hui, comme le prouvent nos soixantaines d'actualités sur le sujet, la plupart datant de l'année dernière et de cette année. Acronyme de Radio Frequency IDentification, et souvent traduit par puces d’identification par radiofréquence, la technologie RFID n'est pas du goût de tout le monde, notamment des personnes craignant pour leur liberté individuelle. Alors quand un article de la BBC annonce en mars dernier qu'une puce RFID peut être facilement infectée par un virus, et que cet article est lui-même confirmé par notre confrère WebProNews il y a quelques heures à peine, l'inquiétude n'en devient-elle pas légitime ?
Les Anglais de la BBC annonçaient en effet à la mi-mars que des "hackeurs" pouvaient aisément introduire un virus dans une puce RFID. Par conséquent, cette dernière était jugée par des spécialistes comme étant le parfait maillon faible du système, et que via sa vulnérabilité, des pirates risquaient de pouvoir commettre des dégâts conséquents.
Quelques membres de l'Université d'Amsterdam ont ainsi créé pour l'occasion un site anglophone au nom explicite de RFIDVirus.org. Spécialiste du sujet, le professeur Andrew S. Tanenbaum, épaulé par trois de ses élèves - Melanie R. Rieback, Patrick N. D. Simpson et Bruno Crispo - a tenu à mettre en avant le manque de protection évident des puces RFID.
Ainsi, après introduction d'un virus en exploitant une faille du logiciel RFID, le professeur et ses élèves ont pu atteindre la base de données qui était rattachée aux étiquettes RFID. Les conséquences pourraient donc être désastreuses pour un magasin par exemple. Afin de sensibiliser la population, nos quatre Néerlandais du jour ont pensé à inventer trois scénarii qui pourraient arriver en cas de piratage de puces RFID.
passeportLe premier scénario est un classique. Un "pirate" va dans un supermarché équipé uniquement d'étiquettes RFID au lieu du code-barre traditionnel. Il achète du beurre, change l'étiquette chez lui par une autre qu'il a lui-même achetée et modifiée. Il revient ensuite au supermarché et rachète à nouveau le même produit (avec l'étiquette RFID modifiée), qui infectera toute la base de données du magasin, changeant ainsi tous les prix par exemple.
Le deuxième scénario va plus loin. En utilisant la même technique – puce RFID modifiée – mais cette fois sur son animal, un pirate pourrait répandre un virus dans toute la base de données d'un vétérinaire, ce qui pourrait si ce dernier ne s'en rend pas compte infecter toutes les puces des animaux de ses clients par la suite, ce qui pour certains agriculteurs serait assez problématique.
Le troisième et dernier scénario concerne les aéroports, ce qui peut être plus ennuyeux encore, notamment du fait de la propagation du virus. En effet, si tous les aéroports se mettent à utiliser une étiquette RFID afin de reconnaître les bagages, il suffirait d'un seul bagage doté d'une puce RFID modifiée pour contaminer toute la base de données de l'aéroport. Pire, tous les autres aéroports pourraient être touchés dans les heures suivantes, par effet de domino. De quoi créer des sueurs froides à plus d'un passager, qui évidemment verrait ses valises arriver de l'autre côté de la planète...
Et quid d'un scénario concernant les puces RFID des hôpitaux ?
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