Trouvé sur open files:
http://www.open-files.com/forum/index.p ... opic=29430
L’Adami publie aujourd’hui l’étude « Filière de la musique enregistrée : quels sont les véritables revenus des artistes interprètes ? ». Cette étude lève le voile sur les rémunérations que les artistes-interprètes de la filière musicale tirent de la fixation et de la diffusion de leur travail enregistré.
Dans un argumentaire adressé aux Sénateurs, le ministère de la Culture et de la Communication reprend les chiffres du Snep (Syndicat national de l’édition phonographique) sur les revenus que les artistes-interprètes de la musique tirent de leurs enregistrements (140 millions d’euros, soit 15% du chiffre d’affaires de la filière du disque en 2005). L’Adami conteste ces chiffres car ils amalgament différents types de contrats, notamment ceux où l’interprète est lui-même producteur.
Afin que le débat sur le projet de loi DADVSI au Sénat reparte sur des bases éclairées, l’Adami rend public aujourd’hui les véritables revenus des interprètes de la musique. L’analyse d’un large échantillon de contrats d’exclusivité des maisons de disque a permis de mettre en évidence des pratiques qui tendent à faire de l’interprète le parent pauvre de la filière musicale.
et sur le site de l'adami directement :
http://www.adami.fr/portail/affiche_art ... ti_id=4063
et l'etude en pdf sinon
http://www.adami.fr/portail/upload/docu ... il2006.pdf
http://www.open-files.com/forum/index.p ... opic=29430
L’Adami publie aujourd’hui l’étude « Filière de la musique enregistrée : quels sont les véritables revenus des artistes interprètes ? ». Cette étude lève le voile sur les rémunérations que les artistes-interprètes de la filière musicale tirent de la fixation et de la diffusion de leur travail enregistré.
Dans un argumentaire adressé aux Sénateurs, le ministère de la Culture et de la Communication reprend les chiffres du Snep (Syndicat national de l’édition phonographique) sur les revenus que les artistes-interprètes de la musique tirent de leurs enregistrements (140 millions d’euros, soit 15% du chiffre d’affaires de la filière du disque en 2005). L’Adami conteste ces chiffres car ils amalgament différents types de contrats, notamment ceux où l’interprète est lui-même producteur.
Afin que le débat sur le projet de loi DADVSI au Sénat reparte sur des bases éclairées, l’Adami rend public aujourd’hui les véritables revenus des interprètes de la musique. L’analyse d’un large échantillon de contrats d’exclusivité des maisons de disque a permis de mettre en évidence des pratiques qui tendent à faire de l’interprète le parent pauvre de la filière musicale.
et sur le site de l'adami directement :
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Bourgpat
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