Je voudrais mettre un peu le doigt sur l'image que l'on souhaite faire passer et le but de notre "collectif".
(j'exprime ici mes pensées, il est possible que ca ne soit pas tout à fait celles de tout le monde, à débatre justement)
Nous somme réuni ici suite au passage à l'assemblée nationale de la proposition de loi DADVSI.
Nous sommes tous opposés à cette loi.
Nous avons divers opinions sur cette loi et les alternatives qui peuvent être proposées, mais nous sommes tous convaincu que les DRM, qui sont un point central de la loi et que la loi protège juridiquement, sont un danger pour nous, la culture et l'informatique.
Nous cherchons donc à exprimer notre oposission à la loi DADVSI en présentant au publique le danger des DRM et de la loi à ce sujet.
Voila, donc je pense que chacun d'entre nous se retrouvera dans ce rapide exposé (qui doit surrement oublier beaucoup de choses).
Ce qu'il est important de retenir c'est donc que nous avons une cible principale à notre lutte, la loi DADVSI. Cette lutte nous la menons en lien avec d'autres (Framasoft, eucd.info, lestelechargements.fr, le collège des mediateurs, ligue odebi etc...), et nous avons choisi de nous attaquer au point qui nous semble le plus grave de la loi, les DRM, alors que d'autres ont choisi d'autres causes (la licence globale, la LFO, la defence des logiciels libres, la démonstration du ridicule de la loi, etc...).
Là où je veux en venir, c'est que jusqu'a maintenant, l'image qu'on donne est surtout un refus des DRM, sans parler beaucoup de la loi DADVSI il me semble.
Il serait donc peut-être interessant de pousser un peu nos nouvelles recherches dans le sens de la lutte contre DADVSI en plus du refus des DRM.
J'ai le sentiment que l'on ne parle pas assez de cette loi ridicule et dangereuse qui nous pousse à agir.
Je pense donc qu'il faut évidemment continuer nos actions, toujours dans le même genre et toujours plus nombreux, mais il faut aussi également chercher des solutions pour faire mieux passer le message qu'une loi est en train d'être voté, et que c'est cette loi qui est dangereuse avant tout.
C'est donc un tout petit recadrement de notre message que je suggère, mais je ne vois pas trop comment le mettre en place, et donc on peu utiliser ce topic pour en parler.
Ma première proposition ce serait déjà de chercher à plus souvent citer cette loi dans nos banderoles, tracts, flyers, PV etc... (quelques bannière "on veut une loi sur les droits des auteurs, pas sur les droits des éditeurs", "non à la loi DADVSI" ou d'autres dans le genre)
Ma deuxième proposition serait de chercher une solution pour eviter d'utiliser le mot "DADVSI", en evitant aussi de dire "non à la loi sur le droit d'auteur" par exemple passque là on se décrédibiliserai totalement : tout le monde est pour le droit d'auteur, il faut pas qu'on soit mal compris.
Et ma troisième proposition c'est de bien demander à tout le monde de ne pas oublier de parler de la loi DADVSI quand on explique notre lutte. Ne pas se limiter aux DRM, même si c'est notre cheval de bataille.
à vos claviers, j'attend vos avis
(j'exprime ici mes pensées, il est possible que ca ne soit pas tout à fait celles de tout le monde, à débatre justement)
Nous somme réuni ici suite au passage à l'assemblée nationale de la proposition de loi DADVSI.
Nous sommes tous opposés à cette loi.
Nous avons divers opinions sur cette loi et les alternatives qui peuvent être proposées, mais nous sommes tous convaincu que les DRM, qui sont un point central de la loi et que la loi protège juridiquement, sont un danger pour nous, la culture et l'informatique.
Nous cherchons donc à exprimer notre oposission à la loi DADVSI en présentant au publique le danger des DRM et de la loi à ce sujet.
Voila, donc je pense que chacun d'entre nous se retrouvera dans ce rapide exposé (qui doit surrement oublier beaucoup de choses).
Ce qu'il est important de retenir c'est donc que nous avons une cible principale à notre lutte, la loi DADVSI. Cette lutte nous la menons en lien avec d'autres (Framasoft, eucd.info, lestelechargements.fr, le collège des mediateurs, ligue odebi etc...), et nous avons choisi de nous attaquer au point qui nous semble le plus grave de la loi, les DRM, alors que d'autres ont choisi d'autres causes (la licence globale, la LFO, la defence des logiciels libres, la démonstration du ridicule de la loi, etc...).
Là où je veux en venir, c'est que jusqu'a maintenant, l'image qu'on donne est surtout un refus des DRM, sans parler beaucoup de la loi DADVSI il me semble.
Il serait donc peut-être interessant de pousser un peu nos nouvelles recherches dans le sens de la lutte contre DADVSI en plus du refus des DRM.
J'ai le sentiment que l'on ne parle pas assez de cette loi ridicule et dangereuse qui nous pousse à agir.
Je pense donc qu'il faut évidemment continuer nos actions, toujours dans le même genre et toujours plus nombreux, mais il faut aussi également chercher des solutions pour faire mieux passer le message qu'une loi est en train d'être voté, et que c'est cette loi qui est dangereuse avant tout.
C'est donc un tout petit recadrement de notre message que je suggère, mais je ne vois pas trop comment le mettre en place, et donc on peu utiliser ce topic pour en parler.
Ma première proposition ce serait déjà de chercher à plus souvent citer cette loi dans nos banderoles, tracts, flyers, PV etc... (quelques bannière "on veut une loi sur les droits des auteurs, pas sur les droits des éditeurs", "non à la loi DADVSI" ou d'autres dans le genre)
Ma deuxième proposition serait de chercher une solution pour eviter d'utiliser le mot "DADVSI", en evitant aussi de dire "non à la loi sur le droit d'auteur" par exemple passque là on se décrédibiliserai totalement : tout le monde est pour le droit d'auteur, il faut pas qu'on soit mal compris.
Et ma troisième proposition c'est de bien demander à tout le monde de ne pas oublier de parler de la loi DADVSI quand on explique notre lutte. Ne pas se limiter aux DRM, même si c'est notre cheval de bataille.
à vos claviers, j'attend vos avis
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Mister V
- Messages : 218
).
ca pourrait être fun, à l'occasion, mais peut-être casse gueule, faut voir, mais c'est une autre histoire).