Mon parcours est ordinnaire piratage > freewares > logiciels libres > framasoft, et va plutôt à l'encontre de l'argumentaire de Felix von Leitner. Car après pas mal de pratique, de discussions entre troll et phylosophie, j'avais décidé de franchir le pas. Ma première à moi, c'etait sur un portable Dell, c'était Mandrake avec son KDE tout bleu. Pour des raisons un peu longues à expliqué, mon portable a fait une rencontre douloureuse avec un mur et j'ai du en changé, un ACER tout neuf sous XP qui a finit par accueuillir une Debian lors d'une installe partie. La débian à tout de suite sauté, imbuvable, anti ergonomique, impossible à utiliser sans internet. Et puis j'ai découvert Ubuntu.
Vous allez me dire, pourquoi j'avais choisi débian. J'avais juste entendu que c'était la plus robuste des distribs grands public, et j'en avais marre des plantages. Après cet échec, j'ai repassé un petit bout de temps en mode Bill Gates lover, puis ai lu un article sur Knoppix. J'ai adoré le live CD Knoppix, et basé sur débian, ça me rassurait. Or j'ai lu un article qui ventait les méritent de la petite fille d'Afrique débianisée, plus friendly user encore que Knoppix, et je suis tombé amoureux de la simplicité du sudo, du synaptic qui marche au poil, de ma sensation de liberté sans patauger dans la farine. Par sécurité j'ai gardé un dual boot, et j'ai bien fais.
L'euphorie passé, la pratique s'est révélé un peu douloureuse. J'ai décider de commencer ç faire vriament une utilisation plus poussé du système, à l'utiliser plutôt qu'à faire joujou. J'ai connu mes premiers plantages un peu contrariants, car j'avais migré avant tout pour la stabilité, qui reste accrue, mais pas parfaite. J'ai su apprécié le fait de resté en mode user plutôt qu'admin et que tous les porgrammes marchent malgré cette mesure de sécu, contrairement à Windows. En revanche, sorti de l'apt-get, je n'ai jamais réussi une compilation malgré su temps passé sur le sujet, c'est rageant quand un projet prometteur n'est fournis que sous forme d'un tar.gz... J'ai adoré la fluidité du monde linux et ai fait le bon 64 bits, encore mieux ! Oups, retour en 32 bits, j'avais perdu la compatibilité avec la moitié des applis, heureusement ça se réinstalle vite avec un partitionnnement intelligent.
Le surf sur internet, sans anti virus, c'est le bonheur. Mais je suis coincé. Le routeur n'est pas dans ma chambre, le cable éthernet n'est aps assez long. J'ai une carte wifi, sur le site officiel d'ubuntu elle est dit compatible. Et là, c'est le drame : j'essaye de la faire marcher. Deux semaines, des nuits entières à essayer de faire marcher cette carte, avec ndiswraper, en essayant 40 000 pilotes différents et autant de configutation. Au final tout marche, je me connecte à mon routeur, mais seulement à mon routeur. Impossble d'aller sur le net. Problème de DNS ? Essayé ! Mauvais routage NAT ? Testé ! DHCP en rade ? Windows n'a pas de problème avec... d'ailleurs en Wifi je n'arrive pas à mettre une ip fixe.
Depuis que mon job consiste à des piges pour un webzine, avec mes activités de plaisirs online et mon groupe de programmation, je ne peu me passer d'internet. J'ai donc besoin de Win. D'ailleurs j'en ai besoin aussi pour Sonic Stage qu'une amie refuse d'abandonner car c'est le seul logiciel qui gère son lecteur MP3 et SIM secretary. Mais je regrette, franchement. Je me suis habitué à Ubuntu, j'ai commencé à le customiser, preuve définitive qu'on commence à s'habituer à un environnement. Un système brillant de convivialité, mais mon ancien système garde encore quelques exclusivités mal placées. Oh je ne blame personne, je connais le pourquoi du comment pour ce qui est des incompatibilités matérielles et logicielles, mais savoir que les developpeurs font de leur mieux me permet juste de les porter dans mon coeur, pas de finir ma migration
Bah, je me console en programmant un projet libre, après tout je peux bien participer moi aussi. Et faire quelques dons par paypal, je suis étudiant et loin d'être riche, mais c'est vraiment là moindre des choses. Bon courage à tous, je garde sous les yeux mon wallpaper "La route est longue, mais la voix est libre."
Vous allez me dire, pourquoi j'avais choisi débian. J'avais juste entendu que c'était la plus robuste des distribs grands public, et j'en avais marre des plantages. Après cet échec, j'ai repassé un petit bout de temps en mode Bill Gates lover, puis ai lu un article sur Knoppix. J'ai adoré le live CD Knoppix, et basé sur débian, ça me rassurait. Or j'ai lu un article qui ventait les méritent de la petite fille d'Afrique débianisée, plus friendly user encore que Knoppix, et je suis tombé amoureux de la simplicité du sudo, du synaptic qui marche au poil, de ma sensation de liberté sans patauger dans la farine. Par sécurité j'ai gardé un dual boot, et j'ai bien fais.
L'euphorie passé, la pratique s'est révélé un peu douloureuse. J'ai décider de commencer ç faire vriament une utilisation plus poussé du système, à l'utiliser plutôt qu'à faire joujou. J'ai connu mes premiers plantages un peu contrariants, car j'avais migré avant tout pour la stabilité, qui reste accrue, mais pas parfaite. J'ai su apprécié le fait de resté en mode user plutôt qu'admin et que tous les porgrammes marchent malgré cette mesure de sécu, contrairement à Windows. En revanche, sorti de l'apt-get, je n'ai jamais réussi une compilation malgré su temps passé sur le sujet, c'est rageant quand un projet prometteur n'est fournis que sous forme d'un tar.gz... J'ai adoré la fluidité du monde linux et ai fait le bon 64 bits, encore mieux ! Oups, retour en 32 bits, j'avais perdu la compatibilité avec la moitié des applis, heureusement ça se réinstalle vite avec un partitionnnement intelligent.
Le surf sur internet, sans anti virus, c'est le bonheur. Mais je suis coincé. Le routeur n'est pas dans ma chambre, le cable éthernet n'est aps assez long. J'ai une carte wifi, sur le site officiel d'ubuntu elle est dit compatible. Et là, c'est le drame : j'essaye de la faire marcher. Deux semaines, des nuits entières à essayer de faire marcher cette carte, avec ndiswraper, en essayant 40 000 pilotes différents et autant de configutation. Au final tout marche, je me connecte à mon routeur, mais seulement à mon routeur. Impossble d'aller sur le net. Problème de DNS ? Essayé ! Mauvais routage NAT ? Testé ! DHCP en rade ? Windows n'a pas de problème avec... d'ailleurs en Wifi je n'arrive pas à mettre une ip fixe.
Depuis que mon job consiste à des piges pour un webzine, avec mes activités de plaisirs online et mon groupe de programmation, je ne peu me passer d'internet. J'ai donc besoin de Win. D'ailleurs j'en ai besoin aussi pour Sonic Stage qu'une amie refuse d'abandonner car c'est le seul logiciel qui gère son lecteur MP3 et SIM secretary. Mais je regrette, franchement. Je me suis habitué à Ubuntu, j'ai commencé à le customiser, preuve définitive qu'on commence à s'habituer à un environnement. Un système brillant de convivialité, mais mon ancien système garde encore quelques exclusivités mal placées. Oh je ne blame personne, je connais le pourquoi du comment pour ce qui est des incompatibilités matérielles et logicielles, mais savoir que les developpeurs font de leur mieux me permet juste de les porter dans mon coeur, pas de finir ma migration
Bah, je me console en programmant un projet libre, après tout je peux bien participer moi aussi. Et faire quelques dons par paypal, je suis étudiant et loin d'être riche, mais c'est vraiment là moindre des choses. Bon courage à tous, je garde sous les yeux mon wallpaper "La route est longue, mais la voix est libre."
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isatis39871
- Messages : 467
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surtout qu'en général la version stable de ta distribution n'intègre pas les bonnes versions de librairies, et si tu te lances dans du retroportage (compilation sous Debian stable de paquets debian testing/unstable) tu peux y passer du temps, et finir par tomber sur un os 
. Depuis que j'ai une debian, et pourtant j'ai passé du temps à bidouiller pour faire marcher mon matériel (carte ATI avec sortie TV, modem PCI, sortie numérique de la carte son, ...), je n'ai jamais eu de plantage définitif, tout juste des noyaux qui refusaient de se charger, ou un script qui part en boucle au démarrage (quand on touche à ce qu'on ne connait pas ...), ou des partitions qui changent de numéro parce que j'en ajoute une, bref rien qui en soit irrécupérable par une disquette de démarrage, ou mieux maintenant, un CD vivant. Moi je dis toujours "un ordinateur ne fait que ce qu'on lui demande de faire, donc si plante pendant qu'on bidouille on ne peut s'en prendre qu'à soit" 
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