Bonjour.
Connaissant ce terme depuis trois ans déjà, me sentant, quelquefois, touché par la chose, surtout depuis que je suis abonné au haut débit, depuis un an, fréquente framasoft ou http://www.world-informatique.com/, avec 183 sujets postés, complets, la création d'un site et des recherches à propos de linux, les logiciels libres, sans parler de certains dépannages que je fais pour des amis, installations pour la mairie ou téléchargements de live-cd, la cyberdépndance apparaît comme une des pathologies dont je suis le plus touché, mis à part l'écriture compulsive, quelques Troubles Obsessionnels Compulsifs, une relative paranoïa, des poussées de dépressions, sans compter un certain complexe de supériorité, ayant tendance à s'orienter vers l'infériorité, lorsque cela ne tourne pas rond dans le carré de l'hypothénuse.
Combien de fois n'ai-je entendu mes parents dire que j'étais marié avec mon ordinateur. J'en ai eu, encore une fois, la preuve aujourd'hui. Si je n'avais pas une certaine modération, un sens des responsabilités, je crois que mes études seraient dans un bien triste état et en train de "cultiver des pommes de terre", comme le disait mon professeur de cm1, cm2. L'informatique passe après tout. Il faut savoir que j'ai remarqué le même phénomène chez un grand nombre de personnes, essayant de prendre du recul sur mon handicap. Selon les statistiques, six pourcents des internautes seraient touchés par ce fléau, faisant, de jour en jour, de nouvelles victimes.
Je dois avouer que la décuverte de linux, chez moi, n'a pas arrangé les choses, m'étant, jusqu'ici, borné à windows, pendant quelques mois sombres de ma vie où j'utilisais des logiciels téléchargés en peer-to-peer. Le problème, chez moi, n'a cessé de s'agraver, nourri amplement par la fontaine de connaissances, d'informations, qu'est la toile générée par quelque araignée, me faisant entrer dans un processus de vampirisation de ma vie privée.
Fort heureusement, je pars très souvent dans la Creuse, dans la diagonale du vide, pour nos camarades géographes, où je trouve le repos pendant une semaine ou plus, que je savoure avec un plaisir indicible. D'une manière personnelle, j'essaie de me séparer de l'ordinateur "neurophile", comme le dit Léo Ferré, par l'ergothérapie.
Il me fallait donc savoir, après avoir, enfin, recherché de plus importantes informations, quel était le niveau de contamination des utilisateurs de Framasoft.
Des informations sont présentes à l'adresse suivante.
http://www.redpsy.com/infopsy/cyberdependance.html
Merci de votre aide.
Connaissant ce terme depuis trois ans déjà, me sentant, quelquefois, touché par la chose, surtout depuis que je suis abonné au haut débit, depuis un an, fréquente framasoft ou http://www.world-informatique.com/, avec 183 sujets postés, complets, la création d'un site et des recherches à propos de linux, les logiciels libres, sans parler de certains dépannages que je fais pour des amis, installations pour la mairie ou téléchargements de live-cd, la cyberdépndance apparaît comme une des pathologies dont je suis le plus touché, mis à part l'écriture compulsive, quelques Troubles Obsessionnels Compulsifs, une relative paranoïa, des poussées de dépressions, sans compter un certain complexe de supériorité, ayant tendance à s'orienter vers l'infériorité, lorsque cela ne tourne pas rond dans le carré de l'hypothénuse.
Combien de fois n'ai-je entendu mes parents dire que j'étais marié avec mon ordinateur. J'en ai eu, encore une fois, la preuve aujourd'hui. Si je n'avais pas une certaine modération, un sens des responsabilités, je crois que mes études seraient dans un bien triste état et en train de "cultiver des pommes de terre", comme le disait mon professeur de cm1, cm2. L'informatique passe après tout. Il faut savoir que j'ai remarqué le même phénomène chez un grand nombre de personnes, essayant de prendre du recul sur mon handicap. Selon les statistiques, six pourcents des internautes seraient touchés par ce fléau, faisant, de jour en jour, de nouvelles victimes.
Je dois avouer que la décuverte de linux, chez moi, n'a pas arrangé les choses, m'étant, jusqu'ici, borné à windows, pendant quelques mois sombres de ma vie où j'utilisais des logiciels téléchargés en peer-to-peer. Le problème, chez moi, n'a cessé de s'agraver, nourri amplement par la fontaine de connaissances, d'informations, qu'est la toile générée par quelque araignée, me faisant entrer dans un processus de vampirisation de ma vie privée.
Fort heureusement, je pars très souvent dans la Creuse, dans la diagonale du vide, pour nos camarades géographes, où je trouve le repos pendant une semaine ou plus, que je savoure avec un plaisir indicible. D'une manière personnelle, j'essaie de me séparer de l'ordinateur "neurophile", comme le dit Léo Ferré, par l'ergothérapie.
Il me fallait donc savoir, après avoir, enfin, recherché de plus importantes informations, quel était le niveau de contamination des utilisateurs de Framasoft.
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elgatollorando
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sinon l'oisillon s'en va du nid 
rien ne vaut que de 
Elle fut comme moi 
