Athanor1 a écrit:Ton raisonnement tient autant debout qu'un sac vide. Pourquoi n'envoies-tu pas un email à Richard Stallman qu'est-ce qui a bien pu prendre environ 10 ans dans la construction de l'illusion GNU, FSF, GPL... ?

Et alors être magicien ou être illusionniste ce sont aussi des métiers. Richard Stalman est programmeur de métier, et il a bien le droit d'aimer son métier, non. d'ailleur il a écrit à cette adresse:
http://www.gnu.org/philosophy/shouldbefree.fr.html<<-Programmer, c'est fun
Certains domaines professionnels trouvent peu de candidats, sauf pour l'argent; la construction routière, par exemple. Il en est d'autres, touchant aux études ou à l'art, dans lesquelles il y a peu de chance de devenir riche, mais où les gens s'engagent par fascination ou à cause de sa valeur perçue pour la société. On peut y inclure par exemple, les mathématiques logiques, la musique classique et l'archéologie; puis l'organisation politique au sein des travailleurs. Les gens concourent, plus tristement qu'âprement, pour les quelques situations assises disponibles, aucune d'entre elles n'étant vraiment bien solide. Ils paieraient pour avoir la chance de travailler dans un de ces domaines, s'ils le pouvaient.Un domaine peut se transformer du jour au lendemain, s'il commence à offrir la possibilité de devenir riche. Si un travailleur devient riche, les autres réclament la même opportunité. Bientôt tous demanderont de fortes sommes d'argent pour ce qu'ils avaient l'habitude de faire pour le plaisir. Puis quelques années passent, chaque personne en relation avec ce domaine tournera en dérision l'idée que le travail pourrait être fait sans salaires mirobolants. Ils conseilleront aux acteurs sociaux de s'assurer que de tels salaires soient possibles, en prescrivant des privilèges spéciaux et les pouvoirs, monopoles nécessaires pour que cela puisse se faire.Ce changement est apparu dans le domaine de la programmation cette dernière décennie. Il y a quinze ans, des articles parlaient d'«accros à l'informatique» : les utilisateurs étaient «connectés» et vivaient modestement. Il était généralement compris que les accros de la programmation pouvaient briser leur couple. Aujourd'hui, il est généralement admis que personne ne ferait de la programmation, sans salaire élevé. Les gens ont oublié ce qu'ils savaient il y a quinze ans.
Même si à un moment précis, la plupart des gens travailleront dans un certain domaine uniquement pour un haut salaire, cela ne durera pas forcément. La tendance peut s'inverser, si la société donne une impulsion. Si nous laissons de côté les possibilités de gros gains, peu de temps après, quand les gens auront réajusté leurs attitudes, ils auront à nouveau à coeur de travailler dans leur domaine pour la joie de le faire.La question «comment payer un programmeur» devient plus simple, quand nous réalisons que ce n'est pas la peine de les payer une fortune. Il est plus facile de leur assurer un niveau de vie correct sans plus. >>
Athanor1 a écrit:Enfin bref sans le travail utile , l'argent n'est rien.
Pourtant l'argent issu de la spéculation est une réalité du monde actuel.

l'argent de la spéculation disparait dès qu'il y a une crise économique. Demande aux gens qui ont acheter des actions eurotunel ou enrone ou france télécom ou vivendi universal etc etc etc.......
Donc comment les traiders professionnels font pour injecter autan de liquide en bourse. Et bien tout simplement il emprainte de l'argent à la banque . Ils achètent des actions les revendent plus chère; on dit qu'ils font une plus value. Enuite ils payent leurs empraints à la banques et avec la plus value paient les intérets banquaire et ils recupèrent le reste de la plus value.
Evidemment avec un système pareil tôt ou tard il y a une crise financière comme avec la crise asiatique ou comme en 1929 etc etc . Enfin bref le grand économiste jhon maynard keynes disait :
<<- La bourse c'est le casino des riches. >>