Attention, je suis de mauvaise humeur...
D'accord, l'article du Monde résume assez bien la situation actuelle.
Mais pourquoi encore mettre
libre entre guillemets ?
Et comment les lecteurs non informaticiens peuvent comprendre quelque chose quand on leur dit que Linux c'est
gratuit ("
Gratuits, les logiciels libres sont néanmoins généralement soumis à une licence d'exploitation", Le Monde) mais que il y a des sociétés qui le
vendent ("
Des éditeurs comme RedHat, Novell, Lindows ou, en France, Mandrakesoft, ont construit une activité commerciale autour des logiciels libres", toujours Le Monde, quelques lignes plus haut) ? Libération a au moins le mérite de ne pas se lancer dans le hasardeux "libre ~= gratuit.
Et pour cracher un peu plus sur Microsoft, à quoi ça sert d'ouvrir le code si il est juste consultable en ligne ? On n'est même pas sûr que ce soit celui qui est compilé sur notre machine. Si on craint les spywares, ça n'a aucun sens.
Voilà. Je vous avez prévenu que j'était de mauvais poil. Mais ça va mieux une fois que c'est dit
Cordialement,
P.S. Je trouve l'expression "leur code-source est public" interressante (jamais vue auparavant), en particulier pour expliquer le libre à des néophytes.