Tolosano a écrit:Ben puisque chacun y va de sa couleur, je choisis le bordeaux

Pwouah !!
Tolosano a écrit:Bien plus esthétique qu'un rouge agressif
Je t'ai tapé dans l'oeil?
Tolosano a écrit:dont on sert pour violenter les taureaux (qui ne voient d'ailleurs pas les couleurs faut-il le rappler?)
Légende urbaine... on ne sait pas vraiment en fait
Tolosano a écrit:je propose un bordeaux bien plus passe partout, élégant et distingué.
Fade, sans caractère quoi
Tolosano a écrit:Bien que nativement, face au bordeaux, je recommenderais un fronton ou un cahors, plutôt qu'un quelconque rouge que l'on assimilerait trop vite à un alcoolique

On te dit rouge, tu pense alcool? Ah là là, y'a plus de jeunesse...
Un moment de culture générale :
Une couleur : rouge
Autrefois la plus stable des couleurs, mais extrêmement coûteuse, le rouge (en particulier la pourpre) fut la couleur par excellence, réservée à l'élite, au point qu'il était interdit de se vêtir de pourpre sous peine de mort ou de porter des "gueules" dans ses armoiries à moins d'être prince ou d'en avoir l'autorisation. Le rouge devint la couleur représentative des rois, des chefs et dignitaires notamment dans l'armée, l'Église, la justice... et le symbole du pouvoir, de la dignité, du mérite, de l'apparat... Amaranthe, andrinople, cramoisi, écarlate, pourpre... ces noms de matières colorantes et d'étoffes prestigieuses rouges témoignent de l'histoire sociale de cette couleur, représentative de diverses institutions et dignités : rois et empereurs (Chambre de la pourpre), chefs de l'Église, (cardinal, pourpre cardinalice, endosser l'écarlate), magistrats, soldats de l'armée française (andrinople, garance)... La langue rend compte, dans ses sens figurés, de la gloire passée et de l'excellence de la couleur rouge. Pourpre a désigné, par métonymie, le pouvoir, la puissance, la richesse ; écarlate, le premier choix, le plus distingué (l'écarlate de la noblesse) ; cramoisi, le magnifique. Au XXe siècle, le rouge est encore la couleur de la puissance et du mérite, et de l'honneur rendu (rosette rouge, ruban rouge, tapis rouge...) qui s'est étendue au domaine du commerce, pour indiquer la qualité des produits alimentaires (cordon rouge, label rouge, ruban rouge).
Le bordeaux n'étant qu'un simple dérivé du
rouge (et oui, il y a aussi les Côtes du Rhone), un sous rouge en quelque sorte, d'autant que, chromatograpiquement parlant, cette couleur n'est pas réelle, elle n'a pas sa propre longueur d'onde. C'est juste une couleur interprétée par le cerveau en mélengeant un
vrai rouge avec des parasites.
D'autant que "ta" couleur n'est pas du bordeaux, mais du violet
aKa a écrit:[ soupir... ]
bon, je m'y recolle !
(on dit "accueil" et non "acceuil", na !)
C'est vrai... erreur corrigée