-> Cela veut dire ceux qui ne peuvent oser contredire aux maisons de disques?Tous les auteurs de bonne foi qui ont besoin d'une maison de disque pour faire les albums qu'ils veulent faire.
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alexnoe
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-> Cela veut dire ceux qui ne peuvent oser contredire aux maisons de disques?Tous les auteurs de bonne foi qui ont besoin d'une maison de disque pour faire les albums qu'ils veulent faire.
alexnoe a écrit:-> Cela veut dire ceux qui ne peuvent oser contredire aux maisons de disques?Tous les auteurs de bonne foi qui ont besoin d'une maison de disque pour faire les albums qu'ils veulent faire.
Tous les auteurs de bonne foi qui ont besoin d'une maison de disque pour faire les albums qu'ils veulent faire.
Encore une fois, passer par une maison de disque est un choix, surtout aujourd'hui.
desesperatly a écrit:Saint-Chinian a écrit:desesperatly a écrit:S'efforcer d'assurer le respect des droits des éditeurs, producteurs etc., c'est également renforcer ceux des auteurs.
Qui dit cela en dehors des producteurs et des Sociétés de Gestion ?
Tous les auteurs de bonne foi qui ont besoin d'une maison de disque pour faire les albums qu'ils veulent faire.
Et moi (qui ne travaille ni pour les uns, ni pour les autres).
Alors que les auteurs aujourd'hui perdent une partie de leur droit moral notamment lorsqu'ils s'affilient à des sociétés de gestions collective, nous souhaitons réaffirmer que l'oeuvre est leur propriété intellectuelle.
Concrètement, alors que la SACEM interdit la diffusion gratuite d'une oeuvre d'un auteur qui lui est affilié, il nous apparaît normal que ce dernier puisse choisir de faire sa promotion en mettant tout ou partie de ses oeuvres à la dispositions du public, selon les modalités de son choix.
antistress a écrit:Comme l'explique très bien M. CAZENAVE :Alors que les auteurs aujourd'hui perdent une partie de leur droit moral notamment lorsqu'ils s'affilient à des sociétés de gestions collective, nous souhaitons réaffirmer que l'oeuvre est leur propriété intellectuelle.
Concrètement, alors que la SACEM interdit la diffusion gratuite d'une oeuvre d'un auteur qui lui est affilié, il nous apparaît normal que ce dernier puisse choisir de faire sa promotion en mettant tout ou partie de ses oeuvres à la dispositions du public, selon les modalités de son choix.
- avec l'article I bis I adopté honteusement modifié par le Sénat : "L'auteur est libre de mettre ses œuvres gratuitement à la disposition du public, sous réserve des droits des éventuels coauteurs et de ceux des tiers ainsi que dans le respect des conventions qu'il a conclues"
Par ce simple ajout, le Sénat supprime la protection voulue par les Députés, dont M. CAZENAVE :
En effet, les contrats proposés par les sociétés type SACEM, en situation de quasi-monopoles, sont des contrats que l'on peut qualifier de contrats d'adhésion : l'auteur n'est pas en position d'en négocier les termes, il n'a le choix que de signer le contrat ou ne pas signer le contrat.
Soumettre la protection légale au respect d'un contrat d'adhésion revient à annihiler le principe même de la protection : il est évident que le contrat contiendra uen clause interdisant à l'auteur de disposer de ses oeuvres comme il l'entend.
antistress a écrit:au moins tu me lis... (j'ai complété mon post)
Saint-Chinian a écrit:Notre ami commun Desesperately, doit lui aussi, te lire attentivement, mais, pour d'autres raisons que moi, car cela fait partie de son job !
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