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Page 1 sur 21, 2 Suivant[P2P] résiliation de contrats FAI

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Ven 10 Déc, 2004 23:13

Saint-Blaise (Alpes-Maritimes), le 10 Décembre 2004 - Ce vendredi 10 décembre 2004, l’Association des Audionautes a appris de source sûre que plusieurs Fournisseurs d’Accès Internet français ont choisi de déconnecter leurs abonnés après avoir reçu des Ordonnances non contradictoires (la défense n’a pas été entendue) rendues par des juges.

Les FAI n'ayant pas souhaité faire appel de ces décisions, ce sont au total une dizaine d’abonnés qui ont été victimes de ce passage en force de l'industrie culturelle.

L’Association des Audionautes tient à faire savoir qu’elle est profondément déçue par le comportement des FAI ainsi que par l'attitude toujours agressive de l'industrie culturelle qui continue à privilégier la criminalisation du public plutôt que le dialogue et la conciliation.

Par ailleurs, l'ADA regrette amèrement ces décisions de justice abusives prises dans l'urgence et la précipitation. Nous invitons ceux qui en auraient été les victimes à nous contacter.

L’Association des Audionautes
http://www.audionautes.net
Audionautes.net, la Génération Numérique...
Nico

Messages : 841
Géo : Paris

Dim 12 Déc, 2004 16:08

bonjour,

l'info a été ralayée par Libération / Florent Latrive, et commence à être reprise de ça de là (ex zoneHD). Extraits :

C'est le délégué général de l'Association des fournisseurs d'accès à l'Internet (AFA), Stéphane Marcovitch, qui a fait cette annonce vendredi à Cabourg, lors des rencontres annuelles de l'Adami, la société civile des artistes-interprètes. «Il y a eu plusieurs coupures d'abonnement sur demande de juges», a-t-il déclaré. Un important fournisseur d'accès nous a confirmé vendredi «quelques cas» depuis début novembre. La Société civile des producteurs phonographiques (SCPP), à l'origine des mesures, se montre en revanche discrète et promet seulement de communiquer dans «les semaines à venir». Selon nos informations, il s'agit surtout d'attendre que plusieurs dizaines d'autres cas viennent s'ajouter à ces premières résiliations.

Le principe de couper l'accès des «pirates» au Net est apparu en juillet, à l'occasion d'une charte de lutte contre les échanges sauvages via le P2P, signée par les producteurs et les fournisseurs d'accès, sous l'impulsion du gouvernement (Libération du 15 juillet). Si le texte confirmait l'intention des maisons de disques de poursuivre au pénal certains internautes, il introduisait aussi ce concept de la coupure de compte. L'objectif ? Disposer d'une arme plus légère à côté des procès, procédures jugées tout à la fois trop longues et porteuses de risques en termes d'image, tant les peines encourues sont lourdes.

De fait, les maisons de disques ont déposé une cinquantaine de plaintes depuis le mois de juin ; des perquisitions ont eu lieu partout en France, et les premiers procès ne sont pas attendus avant les semaines à venir. Chaque prévenu risque jusqu'à trois ans de prison et 300 000 euros d'amende. Depuis plusieurs mois, les producteurs surveillent les principaux services d'échanges P2P, comme Kazaa ou eMule, pour y repérer les usagers les plus actifs et collecter leur adresse IP, sorte d'identifiant numérique des internautes. Pour débrancher ces derniers, il leur suffit de se rendre au tribunal de grande instance afin d'obtenir une ordonnance sur requête d'un juge civil, procédure non contradictoire et très rapide. Nantis de l'ordonnance, ils se retournent ensuite vers le fournisseur d'accès ­ seul à même de faire la correspondance entre l'adresse IP et l'identité de l'internaute ­ pour exiger la résiliation de l'abonnement, comme tous les prestataires s'y sont engagés avec la charte de cet été. «En parallèle, on envoie un courrier d'explication avec une copie de la décision de justice», explique le porte-parole d'un fournisseur d'accès.

L'association de consommateurs UFC Que choisir se veut «solidaire» des internautes ainsi punis, affirme son directeur de la communication, Julien Dourgnon, qui estime que les maisons de disques sont en train d'«approfondir une fracture entre le public et le monde de la musique plutôt que d'essayer de trouver une solution d'équilibre». Le délégué général de l'AFA juge pour sa part «ces mesures moins brutales que l'action pénale et les perquisitions à 6 heures du matin». Il ajoute que rien n'interdit aux internautes ainsi débranchés de se réabonner immédiatement à un autre fournisseur d'accès.


l'UFC (association de consommateurs) propose des études autour du message suivant : "Alors que les adeptes du P2P se comptent aujourd'hui par millions en France, réduire le phénomène à de la contrefaçon pure et simple est un non-sens." Reformulé pour les mous du bulbe, ça donne ça : "Ces actions brutales et disproportionnées ne sont pas acceptables." (voir l'édito massive attaque et les articles du dossier).

Un article de macplus donne quelques infos pratiques supplémentaires :

Déconnexion imminente

Une première charette d’internautes s’est vue privée de son accès au Net suite à un usage trop assidu - et trop visible - des réseaux d’échange P2P. Libération nous apprend que le délégué général de l’Association des fournisseurs d’accès à l’Internet, Stéphane Marcovitch, a déclaré : "Il y a eu plusieurs coupures d’abonnement sur demande de juges". Il s’agit là des premières applications de la charte signée l’été dernier, qui permet aux ayant-droit et à leurs représentants de signaler un"contrevenant" à un juge civil - preuves à l’appui et adresse IP en exergue -, d’obtenir rapidement une décision (une "ordonnance sur requête "), d’envoyer celle-ci au fournisseur d’accès, qui résilie alors l’abonnement internet.

Selon un de nos contacts au sein de la SCPP (Société civile des producteurs phonographiques), une offensive de grande ampleur est actuellement en cours de déploiement. Une cellule technique spécialisée traque les "partageurs" français de musique, sur les réseaux FastTrack (Kazaa), Donkey/eMule et Soulseek, afin de préparer plusieurs milliers de procédures judiciaires ; sont visés les "gros partageurs" de musique, mais aussi les utilisateurs lambda, pourvu qu’ils soient repérés au moins deux fois à quelques jours d’intervalle. Les plaintes devraient aboutir massivement dans le courant du mois de janvier, et être accompagnées d’une - grosse -campagne médiatique destinée à décourager les internautes de l’utilisation des réseaux P2P.


La démocratie numérique ne se sera pas construite que dans la tendresse ... Comme aucune autre démocratie d'ailleurs :-(

A+LS.
LS.

Messages : 3602

Dim 12 Déc, 2004 17:54

Je me pose une question (toute théorique...). Je suis chez un fournisseur d'accès qui me fournit une adresse IP différente toutes les 24 heures. Supposons que j'utilise massivement un réseau de P2P. Comment les maisons de disques font-elles pour me repérer, alors que mon adresse change tout le temps ? (donc ma question : en fait, leur technique de repérage de "pirates" est-elle vraiment efficace et cohérente ?)
korova08

Messages : 1114
Géo : Ardennes (08)

Dim 12 Déc, 2004 20:30

les FAI doivent conserver les données de connection (correspondance entre l'IP et l'identité de l'internaute etc...) un certain tps pour led mettre si besoin a disposition de la justice. Il y a donc des archives tout à fait fiables.

Il me semble assez peu probable que les FAI déconnectent "au hasard".
Ils peuvent très bien savoir qui fait quoi sur leur réseau et c'est précisement ce que leur demandent les majors de la musique !

AnT.
AnT.

Messages : 447
Géo : Loiret

Dim 12 Déc, 2004 22:01

Le seul argument pour les abonnements de plus de 2 mega est le p2p.(pour un particulier)Pourquoi ne pas juger arbitrairement toutes les personnes ayant choisi ce type d'abonnement ??? Cherchent-ils a obtenir une taxe sur les abonnements (petit calcul 8 million d'internaute x 1€ = " une belle somme). Sans que pour autant que le télé-chargement ne devient légal. Quand je vois la pub pour le 16 méga !! Quelle hypocrisie.

Comment peuvent ils savoir si nous faisons du p2p à quelques jours d'intervalle , si non en le demandant au fai à quelques jours d'intervalle (puisque 2 adresse IP différentes). Ou alors ils demandent au fai de nous surveiller ???

Et si pour vous connaître ils avaient recours au vrai piratage celui-là. Pénétration sur votre système ,état des lieux , barbotage d'un courrier ou d'un message et vous voila identifié. Et pour un grand nombre d'utilisateurs ça doit être d'une facilité infantile "A bon un firewall" pourquoi faire??? windows des back door A bon et si Bill est de mèche avec BOB MAJOR ????

Bon allez je délire ???

Voilà ce que je voudrais dire aux artistes.

Je ne comprend pas comment des artistes qui déclarent aux impôts des sommes faramineuses osent prêter caution aux major du multimédia.

Ils ont malheureusement oublié leurs début ou leur seul soutient été le publique.

Ils ont malheureusement oublié aussi les idées qu'ils véhicule le plus souvent à travers leurs chansons.

Et je me dit parfois que c'est peut être lui ,mon artiste préféré, qui causera ma perte, celui que j'ai soutenu par l'achat de ses disques et ma présence à ses concerts alors que peu de monde encore croyait en lui.

Ce qu'il faut faire, ne plus acheter de disque, ne plus allez au cinéma, ne plus allez au concert. Ils ont plus besoin de vous (votre argent) que vous n'avaient besoin d'eux (leur culture).Ils craquerons avant vous.
dulnux

Messages : 50

Dim 12 Déc, 2004 22:44

@dulnux

Cherchent-ils a obtenir une taxe sur les abonnements

ça ou autre chose qui leur permettre de combler ce qu'ils estiment comme un "manque à gagner".

Comment peuvent ils savoir si nous faisons du p2p à quelques jours d'intervalle , si non en le demandant au fai à quelques jours d'intervalle (puisque 2 adresse IP différentes). Ou alors ils demandent au fai de nous surveiller ???


heu... je peux me tromper, mais pour "collecter" des IP échangeant connectés à eMule, ya pas besoin de la police ou des Fai, vous branchez votre mule. Et comme ça a été dit, les FAI gardent les log de connection. On sait donc que telle IP, tel jour, telle heure, a été attribuée à tel client.

Ensuite, il y a en effet une tendance chez M$ a implémenter des dispositifs visant à envoyer des infos sur notre système, mais en général ils sont souvent "contrés", en témoigne la myriade de petits logiciels (comme xp antispy, ou xspy bientôt sur Frama ! lol), certes plus ou moins efficaces, destinés à enlever ce type de dispositifs.
Lian

Messages : 86

Dim 12 Déc, 2004 23:20

Le seul argument pour les abonnements de plus de 2 mega est le p2p.(pour un particulier)Pourquoi ne pas juger arbitrairement toutes les personnes ayant choisi ce type d'abonnement ??? Cherchent-ils a obtenir une taxe sur les abonnements (petit calcul 8 million d'internaute x 1€ = " une belle somme). Sans que pour autant que le télé-chargement ne devient légal. Quand je vois la pub pour le 16 méga !! Quelle hypocrisie.


C'est gentil pour tous les hébergeurs autogérés. Non il n'y a pas qu'un seul argument pour avoir une ligne de 2 Mb, les utilisateurs qui font de la visioconférence avec netmeeting ont besoin d'une connexion très rapide, une ligne de 6 ou 8 Mb n'est pas inutile pour un hébergeur autogéré, pas d'amalgames faciles, conservons un débat cohérent.
Thierry
tbernard

Messages : 4920
Géo : Aix en Provence

Dim 12 Déc, 2004 23:46

... et tous les usages du p2p ne concernent pas l'échange de fichiers copyrightés (si tant est que ce type d'échange est illégal, mais c'est un autre débat).
Par exemple, des artistes se servent du p2p pour diffuser leurs oeuvres sous licence libre.
Ratiatum pour ne pas le citer, est en partenariat avec le serveur Razorback pour compléter ses serveurs dans la diffusion des fichiers de sa rubrique "téléchargement", dans lequel on trouve par exemple OpenOffice.

Une manière que certains jugeront peut être hypocrite, de montrer que le p2p ne sert pas uniquement à s'échanger le dernier film Swcharzy.
Lian

Messages : 86

Lun 13 Déc, 2004 01:22

les réactions continuent. Voici celle de Franca Mai (la femelle du pirate notamment) les maquignons rient jaune sur le site du collectif bellaciao.

Pascal Nègre est l’homme qui tente également de vous faire croire que les utilisateurs du P2P (téléchargement libre) sont des pirates et des dangereux délinquants.

Il est un fervent actif de la répression et oeuvre efficacement -par le biais de différents organismes qu’il préside- à "punir" et à pourrir la vie de ces défricheurs désintéressés.

A ce jour, plusieurs Fournisseurs d’Accès Internet français ont d’ores et déjà choisi de déconnecter leurs abonnés après avoir reçu des Ordonnances non contradictoires (la défense n’ayant pas été entendue) rendues par des juges.

Les FAI n’ayant pas souhaité faire appel de ces décisions, ce sont au total une dizaine d’abonnés qui ont été victimes de ce passage en force de l’industrie culturelle. ( source : http://www.audionautes.net/site/index.php )

Or, pour l’instant ces décisions aléatoires, bénéficient d’un vide juridique en la matière.

Je souligne ici, qu’aucune tentative de commercialisation illégale n’émane des internautes baptisés exagérément "pirates", simplement un goût du partage et une volonté farouche de développer une communauté virtuelle, à l’esprit critique prononcé.

Entendez-bien.

Les mélomanes saturent de la daube ! ... Ils veulent du vrai, de l’authentique. Ressentir des émotions. Ils ne veulent plus s’étrangler avec des produits indigestes. Ils déploient leurs ailes magnifiques pour voler vers des contrées enchanteresses.

Imaginez un instant, que nos parents avec leurs K7 dupliquées aient été des renégats indomptables.

Cette aberration percute-t-elle les neurones ?

Pascal Nègre pirate notre Internet, allons-nous lui laisser le monopole de la culture musicale et nous mettre la laisse en tendant bien poliment le cou ?

Comme nous sommes potentiellement des consommateurs et que par conséquent nous avons un pouvoir, exerçons-le un instant. Pour la beauté du geste et le rire jaune des maquignons.

A Noël, lors des futurs achats, ignorons les gondoles aux piles convenues et aseptisées. Arrêtons l’achat convulsif et domestiqué. Précipitons-nous vers les petits labels.

La résistance, c’est aussi la solidarité avec ceux qui prennent des risques et pensent autrement.

C’est exercer un vrai choix.


petit point de technique juridique et de procédure civile pour comprendre ce qui se passe et ce qui risque de se passer : les résiliations de contrats ont été effectuées sur la base d'ordonnances sur requête déposées devant le juge civil par les majors.

Il faut conserver à l'esprit qu'en droit français, l'une des règles de base est le caractère contradictoire des procédures, c'est à dire le fait que chaque personne concernée par un procès soit en mesure d'être entendue dans des conditions équitables. C'est ce qu'on appelle le principe du contradictoire, une valeur démocratique essentielle qui se décline dans plusieurs règles de droit et de procédure.

Par exception, quelques procédures très limitées dérogent partiellement ou temporairement à ce principe essentiel. Ces dérogations sont toujours encadrées par la loi et répondent à un but bien précis. En général l'urgence, l'absence de contestation, etc.

L'une de ces exceptions est les 'ordonnances sur requêtes' rendues par un juge : une ordonnance (=une décision du juge) rendue à la requête (= à la demande) d'une personne, (sous entendu habilitée à présenter cette demande et à obtenir cette décision) contre une autre (=les FAI ici). Ceux qui ont déjà vu passer des injonctions de payer (amendes, trésor public, etc) savent à quoi peut ressembler une ordonnance sur requête.

En application du principe du contradictoire, la personne à l'encontre de laquelle est rendue l'injonction (= la personne qui reçoit l'ordre du juge) dispose d'un délai d'1 mois pour faire appel (= pour être jugée dans des conditions normales = pour qu'une audience soit organisée et que les 2 parties puissent présenter et discuter leurs arguments). Quand on dit dans cette affaire que les FAI nont pas fait appel, ça veut dire qu'ils ont accepté les termes de l'ordonnance, et qu'ils n'ont pas discuté. Méthode dite 'ponce pilate'.

Les clients des FAI eux n'ont aucun recours contre ces décisions, puisqu'ils ne sont pas partie à la procédure ... Méthode imparable !

On ne peut pas parler de 'vide juridique', car les règles procédurales et juridiques sont claires.

En revanche, il y a comme un petit problème : la procédure choisie est elle adaptée et utilisée dans l'esprit de la loi ? Autrement dit qu'est-ce qui justifie réellement l'utilisation de cette technique d'ordonnances sur requêtes ?


NOUVEAU CODE DE PROCEDURE CIVILE

Sous-titre III : Les ordonnances sur requête

Article 851

Le juge du tribunal d'instance est saisi par requête dans les cas spécifiés par la loi.

Il peut également ordonner sur requête, dans les limites de sa compétence, toutes mesures urgentes lorsque les circonstances exigent qu'elles ne soient pas prises contradictoirement.


définition plus complète et explication des procédures non contradictoires le particulier/vos droits au quotidien

décryptage : l'ordonnance sur requête (=une procédure non contradictoire) permet d'obtenir un avantage tactique fondé sur la rapidité ... méthode ni vu ni connu ou le coup du bonneteau.

Tous les professionnels savent qu'il est assez facile d'obtenir une ordonnance sur requête car :
- il suffit d'un dossier bien monté (c'est l'essentiel),
- le juge ne vérifie que la cohérence extérieure du dossier,
- l'adversaire n'est pas là pour se défendre, ou pour pointer les incohérences, erreurs, inexctitudes ou autres de la demande

Le seul inconvénient est après avoir obtenu l'ordonnance, il s'agit de ne pas se faire prendre.

Les majors se disent :
- que les FAI n'interviendront pas pour prendre des coups à la place des internautes,
- que les internautes sont des cons/sommateurs individuels, non organisés, sans services juridiques, déstabilisés par les campagnes d'intoxication médiatique, indéfendables (rappelez vous la préparation d'artillerie sur le thème P2P=piratage, méthode le choix des mots)
- que ça va passer (c'est vrai) et que lorsque ça ne passera plus (ça risque), ça sera toujours ça de gagné et il sera toujours temps d'essayer autre chose. Actuellement les majors jouent vite pour occuper l'espace de débat et l'orienter dans un sens favorable à leur vision. La méthode du hold-up quoi.

A+LS.
Dernière édition par LS. le Lun 13 Déc, 2004 01:24, édité 1 fois au total.
LS.

Messages : 3602

Lun 13 Déc, 2004 01:23

Je ne fais absoluement pas d'amalgame facile mais les utilisations dont vous parler ne doivent représenter qu'un faible pourcentage du total des activités. Les fai commencent à parler de fléau tellement le p2p leur coûte en bande passante (peu importe la légalité des contenus). D'ailleur peut être finiront ils par s'allier avec les majors pour cette raison. Leurs interêts sont les mêmes gagner du fric.

Une adresse ip n'est pas nominative, elle est modifié à chaque connection dans la plupart des cas ou tout les 24 heures. Si je cherche quelqu'un par son adresse ip , il faut autant de demande au fai que d'adresse ip, puisque la demande d'indentification n'est pas nominative,donc ils ont besion de la justice pour ça.
dulnux

Messages : 50

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