Le problème de la loi sur la protection des droits d'auteur -outre les méandres de sa procédure, les lobbies -toujours en coulisse- des gros...-, c'est que, jusqu'à aujourd'hui, ce sont les éditeurs (et d'abord les "Majors") et non les créateurs (et je ne parle donc même pas ici des informaticiens écrivant des applications libres !) qui encaissent l'essentiel des sommes faramineuses.
Avec Internet, le contraire est facile à réaliser : les chanteurs et autres vedettes pourraient gagner plus, les "consommateurs" paieraient moins. Seuls les Majors y seraient perdants : directement du producteur au consommateur ! Et c'est ce que les éditeurs-RENTIERS ne voulaient pas. Ils ont fait feu de tout bois et ont... gagné grâce (à cause ?) de nos élus
.
Et je ne parle non plus de la très grande majorité des artistes qui n'ont pas accès aux "Majors". Je me limite ici aux seuls arguments économiques et financiers que vous nous rabâchés en permanence et qui seraient le point fort de votre [s]сathéchisme [/s] IDEOLOGIE !
Messieurs les Libéraux -qui voulez toujours nous donner des leçons d'économie et de réalisme- ne pensez-vous pas que ces énormes masses d'argent économisés par un circuit de distribution plus court, sans intermédiaire, -et nettement plus honnête- pourrait alors aller dans maints domaines où il y en a beaucoup plus besoin ?
On peut aisément paraphraser Rosa Luxembourg dans le cas des droits d'auteurs, comme dans beaucoup d'autres :
Le libéralisme, c'est toujours celui des autres"...
Le projet DADVSI est une des nombreuses manifestations "exemplaires" du Libéralisme noyautant tout, et ne vous en déplaise, comme le bolchevisme en son temps...- il convient de montrer la contradiction (et l'éternelle mauvaise foi) de ses partisans en l'espèce :
Vous justifiez le Libéralisme comme modèle supérieur aux autres pour, entre autres, produire plus et mieux au meilleur prix (je cite là tous les auteurs orthodoxes !).
Et on pourrait continuer : les organismes censés défendre les droits d'auteurs (SACEM...) ne défendent que les gros (lire "riches") vedettes et ont des méthodes de gestion qui font l'objet de nombreuses critiques avérées...
Le Libéralisme -au moins aujourd'hui- c'est le statu quo sur toute réforme qui voudrait justement supprimer les positions dominantes, la VRAI concurrence, les passes-droit, les réseaux, privillèges et autres atteintes à la compétition que vous ne cessez d'appeler hypocritement de vos voeux.
Voyez le pauvre et pathétique député libéral-UDF faisant la grève de la faim pour une délocalisation de 120 emplois. Triste contradiction cardinale et abjecte du pitoyable Libéralisme !
Avec Internet, le contraire est facile à réaliser : les chanteurs et autres vedettes pourraient gagner plus, les "consommateurs" paieraient moins. Seuls les Majors y seraient perdants : directement du producteur au consommateur ! Et c'est ce que les éditeurs-RENTIERS ne voulaient pas. Ils ont fait feu de tout bois et ont... gagné grâce (à cause ?) de nos élus
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Et je ne parle non plus de la très grande majorité des artistes qui n'ont pas accès aux "Majors". Je me limite ici aux seuls arguments économiques et financiers que vous nous rabâchés en permanence et qui seraient le point fort de votre [s]сathéchisme [/s] IDEOLOGIE !
Messieurs les Libéraux -qui voulez toujours nous donner des leçons d'économie et de réalisme- ne pensez-vous pas que ces énormes masses d'argent économisés par un circuit de distribution plus court, sans intermédiaire, -et nettement plus honnête- pourrait alors aller dans maints domaines où il y en a beaucoup plus besoin ?
On peut aisément paraphraser Rosa Luxembourg dans le cas des droits d'auteurs, comme dans beaucoup d'autres :
Le libéralisme, c'est toujours celui des autres"...
Le projet DADVSI est une des nombreuses manifestations "exemplaires" du Libéralisme noyautant tout, et ne vous en déplaise, comme le bolchevisme en son temps...- il convient de montrer la contradiction (et l'éternelle mauvaise foi) de ses partisans en l'espèce :
Vous justifiez le Libéralisme comme modèle supérieur aux autres pour, entre autres, produire plus et mieux au meilleur prix (je cite là tous les auteurs orthodoxes !).
Et on pourrait continuer : les organismes censés défendre les droits d'auteurs (SACEM...) ne défendent que les gros (lire "riches") vedettes et ont des méthodes de gestion qui font l'objet de nombreuses critiques avérées...
Le Libéralisme -au moins aujourd'hui- c'est le statu quo sur toute réforme qui voudrait justement supprimer les positions dominantes, la VRAI concurrence, les passes-droit, les réseaux, privillèges et autres atteintes à la compétition que vous ne cessez d'appeler hypocritement de vos voeux.
Voyez le pauvre et pathétique député libéral-UDF faisant la grève de la faim pour une délocalisation de 120 emplois. Triste contradiction cardinale et abjecte du pitoyable Libéralisme !
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