Pas facile e répondre à ton histoire ... banale.
Faite de touts petits riens : la religion, l'argent, l'art, balayés comme fétus de paille par la maladie d'un bébé.
Je crois comprendre ton idée sur la relativité.
Les voisins qui font la java tous les soirs jusqu'à minuit et les chars qui détruisent ma maison sont tous deux des problèmes qui empoisonnent une vie.
Toute vie est une vie, qu'elle soit remplie de petits riens ou d'événements historiques.
Faut-il pour autant ne pas prendre parti ? Même avec top de véhémence ?
Se tromper et le reconnaître est, en soi, enrichissant. Mes connaissances les mieux encrées viennent de mes plus grossières erreurs.
Offrir à la réflexion commune mon point de vue sur le libre et ses principes me paraît un agréable petit rien pour remplir ma vie.
Le libre me paraît un phénomène social de l'acabit de la politique, la religion ou l'économie mais qui fera certainement beaucoup moins de millions de morts.
Et surtout, je n'ai pas de bébé !
Je n'ai peut être pas non plus l'art et la manière, mais, est-ce si grave ?
En tout cas, j'ai obtenu des commentaires qui m'ont bien plu, c'est déjà ça de pris
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birin
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