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[cheval_boiteux]

Ce billet du Framablog et de Geektionnerd ne pouvait pas tomber mieux pour illustrer mon post :

http://www.framablog.org/index.php/post ... gle-chrome

Si c'est le prix à payer !!


Et devant le brouhaha que suscite mon mauvais français, j'ai réécris mon post :

La question qui se pose ici est la puissance économique de certaines entreprises.

Un pays tel que Haïti serait-il prêt à recevoir des fonds de sociétés privées pour remonter son économie, car apparemment, les autres états ne le font pas ?

Dans ce monde où le libéralisme est roi et où l'argent dirige tout, un peuple serait-il prêt à se soumettre à des fonds privés et à perdre leur liberté de pensée pour avoir un meilleur niveau de vie ?
Je pense que les grecs seraient prêts à être racheté de Google pour ne pas perdre en niveau de vie. Les médias et le monde actuel ne pensant qu'à court terme, les grecs seraient-ils prêts à vivre au crochet d'une société privée sans se rendre compte sur le moment de leur perte de liberté ?

J'ai reformuler la dernière phrase par une question car c'est sur ce point que je voulais débattre.

[Téthis]

> J'ai reformuler la dernière phrase par une question car c'est sur ce point que je voulais débattre.

Si l'on suppose que tous les grec ont la même opinion, le même train de vie, la même volonté de le conserver et qu'ils ont les mêmes objectifs à court terme, je pense être sûr de te répondre que je n'en sais rien.

Comme 80% des de la monnaie qui circule dans les tuyaux de la finance mondiale ne reposent sur aucune valeur, on peut allégrement affirmer que cette dette est principalement constituée de vent, tout comme ce que l'Europe veut injecter dans l'économie grecque moyennent serrage de la ceinture,

Bizarrement il n'y a pas un flèche quand il s'agit de financer quelque chose mais il y a de quoi faire lorsqu'il s'agit de prêter. On me répondra que c'est normal car le système financier est ainsi fait : on ne prête pas de l'argent, on le créée et on en récolte les intérêts en se faisant au passage de braves petits esclaves.

Donc, pour conclure, ils ont le choix d'aller envoyer balader les banquiers ou de continuer à se briser le dos pour financer un système qui est voué à se casser la gueule.

Aναρχία !

[Shimegi]

Un article de rue89 qui va dans le sens de Téthis (que j'ai décidément du mal à orthographier correctement, le h se colle toujours au premier T)