Samiby a écrit:Ensuite, il va falloir se poser le problème de la distribution: quelle distrib choisir ? Mandriva (patriotisme économique) ? Ubuntu (à la mode) ? Fedora (entièrement libre) ?
Et quid des applications ? KOffice ? OpenOffice ? KDE ? Gnome ? XFCE ? Firefox ? Galeon ? Konqueror ?
Ca va troller ...
Personnellement je n'aime pas Gnome que je trouve lent et pas beau, ni KDE que je trouve lourd et trop ressemblant à Windows. En fait j'ai une préférence pour l'environnement XFCE, léger, rapide, efficace et depuis peu user-friendly. Et en plus c'est une création française !
Euh... qui parlait de troll ?

Samiby a écrit:Mais le mieux étant de profiter à fond de l'idéologie du libre: chacun est libre. Ce serait une excellente opération, qui permettraient d'intéresser les fonctionnaires à leur outil informatique, et les laissant prendre leurs propres décisions. Cela étant évidemment permis grâce à l'intropérabilité annoncée par la RGI.
Mais ça, c'est dans la théorie. Parceque, dans la pratique, je vois mal un technicien demander à un simple officier de police s'il préfère être sur OpenSuse ou Fedora, même après lui avoir expliqué que sur OpenSuse, il ya un control-center uniforme et sur Fedora, il y a plusieurs outils system-config

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Un peu plus sérieusement, je pense que le choix des distribs peut se faire au cas par cas, par chaque responsable SI. Pour les applis, une grande partie sera de toute manière régie par le RGI s'il est suivi - et je n'imagine pas, si on passe sous OS libre, qu'il ne le soit pas - donc on aura typiquement OOo pour la bureautique, et dans la même logique des navigateurs compliant aux standards W3C, et ainsi de suite.
Pour le reste, je crois que nous avons suffisamment en France de SS2L pour que chaque responsable SI, où qu'il soit - ou presque - puisse faire appel à quelqu'un de compétent en cas de besoin.
Ce qu'il y a de bien, c'est que quelle que soit la distrib choisie, c'est "cocorico" parce que ce sont
nos entreprises qui travaillent et prospèrent, au lieu que l'argent parte dans des licences payées très cher à des éditeurs étrangers.