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Page 7 sur 12Précédent 1 ... 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10 ... 12 SuivantPlaidoyer pour les licences NC - Non Commercial.

Le Libre soulève de nombreuses questions, notamment sur la vente liée, les verrous numériques, les libertés numériques.., Parlons-en avec écoute et respect de l'autre.

Lun 15 Sep, 2008 20:27

deadalnix a écrit:La clause NC veux dire : "je peux faire de la thune avec et pas vous." Le fait de cacher ça derrière un discours anti société de consommation

C'est exactement ce que je fais. Et si je l'utilise, c'est bien pour cela. Pour dire : "le savoir se suffit à soi-même"
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"L'ignorance n'est pas ne pas connaître, c'est ne pas vouloir connaître."
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Mikelenain

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Mar 16 Sep, 2008 06:08

même en musique, il y a certaines qui sont difficiles à enregistrer (symphonies, concertos etc.) et d'autres qui ne sont traditionnellement pas jouée en public car le procédé empêche le direct.

alors que tu dises qu'une symphonie est difficile a enregistrer ok mais un concerto il ne faut pas pousser et j'aimerai savoir quelle œuvre ne peut pas être enregistrée de par le procédé... si tu peux l'ecouter ou la voir tu peux l'enregistrer. J'ai travaillé avec des artistes qui faisaient des installations sonores spatiales et elle sont enregistrée même si l'enregistrement ne rend pas le direct(live)... mais c'est la même chose avec une œuvre symphonique, tu n'auras jamais les vibrations sonores des instruments toutes les harmoniques sur un vinyl ou un cd.(et je ne te parle même pas de tes voisins si tu ecoutes une oeuvre symphonique aussi fort qu'elle est jouée).


deadalnix
La clause NC veux dire : "je peux faire de la thune avec et pas vous."

t'as raison et toi tu vis d'amour et d'eau fraîche. Laisse le droit à l'auteur d'essayer de vivre de son œuvre s'il le peut. Je ne sais pas quel boulot tu fais mais si on te demandait de bosser pour nada je pense que tu n'aurais pas cette analyse. C'est facile de dire que l'art doit être gratuit mais qui va faire vivre ceux qui le crée. Je rappelle que tout auteur est libre de faire du copyleft, du NC ou du non libre. Si un auteur ne fait que du copyleft, il ne vivra pas de son "art ", du moins dans le domaine graphique c'est certain.
Alors les ayatollahs du LIBRE (j'entend par la libre+FREE non payant) proposez une alternative.
et je te certifie que si comme dans le cas de "pouet pouet man" tu veux pouvoir garder la main sur le concept comme tu le veux, la clause NC est la plus utile même si tu en doute.

Il faut bien préciser qu'une idée / un concept n'est (fort heureusement) la propriété de personne, et donc aucun droit ne peut t'assurer de cachet si tu te la fais "piquer".

le concept dans le domaine artistique est assez éloigné du concept dans le domaine de la production... car il est mis en oeuvre et ne reste pas à l'etat d'idée.
ex : le concept de monochrome développé par Yves KLEIN.
après tu peux le théoriser et là cela devient un concept comme dans la production reproductible par d'autres etc....
Dans le cas du plagiat, le plagieur sait qu'il fait quelque chose d'illégal, alors NC ou pas, à mon avis il s'en fiche. A tout casser pour une LAL il pourra prétexter d'avoir mal compris la licence. Je n'ai pas de précédent à ma connaissance mais j'ose imaginer que c'est difficile à défendre.

la différence est juste que l'argent qu'il s'est fait grâce au plagiat te revient de droit(NC) pas avec du copyleft là il n'y aura pas plagiat puisque que ton oeuvre est librement utilisable dans tous les contextes.
Hé oui le copy left te retire le droit de dire "Hé tu m'as plagié "
Vous pouvez diffuser librement les copies de ces oeuvres, modifiées ou non, quel que soit le support, quel que soit le lieu, à titre onéreux ou gratuit, si vous respectez toutes les conditions suivantes :
- joindre aux copies cette licence à l'identique ou indiquer précisément où se trouve la licence ;
- indiquer au destinataire le nom de chaque auteur des originaux, y compris le vôtre si vous avez modifié l'oeuvre ;
- indiquer au destinataire où il pourrait avoir accès aux originaux (initiaux et/ou conséquents).
Les auteurs des originaux pourront, s'ils le souhaitent, vous autoriser à diffuser l'original dans les mêmes conditions que les copies.


PS : je fais du NC/du copyleft/ et de la cession de droit suivant les "projets".
wiko

Messages : 728

Mar 16 Sep, 2008 08:57

wiko a écrit:deadalnix
La clause NC veux dire : "je peux faire de la thune avec et pas vous."

t'as raison et toi tu vis d'amour et d'eau fraîche. Laisse le droit à l'auteur d'essayer de vivre de son œuvre s'il le peut. Je ne sais pas quel boulot tu fais mais si on te demandait de bosser pour nada je pense que tu n'aurais pas cette analyse. C'est facile de dire que l'art doit être gratuit mais qui va faire vivre ceux qui le crée. Je rappelle que tout auteur est libre de faire du copyleft, du NC ou du non libre. Si un auteur ne fait que du copyleft, il ne vivra pas de son "art ", du moins dans le domaine graphique c'est certain.
Alors les ayatollahs du LIBRE (j'entend par la libre+FREE non payant) proposez une alternative.
et je te certifie que si comme dans le cas de "pouet pouet man" tu veux pouvoir garder la main sur le concept comme tu le veux, la clause NC est la plus utile même si tu en doute.

Je crois que deadalnix, de mémoire, est opposé à la clause NC ^^
Ça serait plutôt moi qui serait pour. Mais je suis pour avoir le droit de le faire, sans forcer quiconque à le faire. C'est juste que la propention mercantiliste de notre société en général me rebute (pour ne pas dire pire). Ne peut-on pas fournir un travail gratuitement et demander que les autres fassent de même quand ils souhaitent propager notre travail ? Personnellement je trouve ça normal. Sans pour autant interdire aux autres de faire du fric avec ce qu'ils font par eux-même.
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Mikelenain

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Mar 16 Sep, 2008 12:49

wiko a écrit:et je te certifie que si comme dans le cas de "pouet pouet man" tu veux pouvoir garder la main sur le concept comme tu le veux, la clause NC est la plus utile même si tu en doute.


Certainement pas : si tu veux garder la main, utilise une clause ND-NC ou un full right reserved. Si un truc marche du tonnerre, il marchera payant ou pas, la clause NC ne sert qu'a éviter que d'autres fassent leur beurre dessus.

Et une idée ou un concept, quelque soit le milieu, n'appartient à personne et ne se plagie donc pas, c'est plutôt le principe de parler de concept en graphisme qu'il faudrait revoir. De même que dans l'industrie un concept ne peut faire l'objet d'un dépôt de brevet, seule son application technique le peut. Et on parle alors de technique et non plus de concept.

Pour ma part, je pense que la seule clause NC est inutile dans le principe. Je m'explique :

Tu veux contrôler totalement le produit : all right reserved.

Tu veux diffuser : une licence opensource genre NC-ND est pas mal

Tu veux partager : il y a les licences libres (complètement libre j'entends)

Si quelqu'un est séduit par ton concept, rien ne l'empêche de le réutiliser sous une autre forme. Et même un all rigth reserved ne changera rien.

En ce qui concerne le plagiat : si tu considère que plagiat = reprise presque exacte de la formalisation du concept, alors effectivement une licence libre ne t'en empêche pas, mais une licence juste -NC non plus (le plagiat n'implique pas l'utilisation commerciale)
Si tu considère le plagiat = reprise presque exacte de la formalisation du concept sans autorisation préalable (ce qui me parait être, personnellement, une définition plus adaptée, le plagiat étant par essence une infraction à une règle, et implique donc l'absence d'autorisation :p), alors la licence libre t'en protège de même que la licence NC ou n'importe quelle licence en fait : car dans ce cas, tu peux plagier une oeuvre sous licence libre si tu n'indique pas le nom de l'auteur ,par exemple.

Donc effectivement, la seule clause NC n'apporte que la notion de : je suis le seul à poouvoir gagner de l'argent avec, et n'apporte aucune garantie supplémentaire surle respect de la formalisation du concept et de sa réutilisation, sauf à être couplée avec une clause ND.

Je pense également qu'en fonction de la situation (oeuvre reproductible par copie /oeuvre reproductible par un travail - désolé de la formulation c'est pas génial), le problème change complètement.

Dans le cas d'une oeuvre reproductible par copie (la copie d'un morceau de musique) il est évident que le travail de l'esprit est majeur. Ce qui n'est pas le cas pour une oeuvre non reproductible par simple copie (genre un tableau, sculpture etc), le support est donc important à prendre en compte dans le choix de la licence (puisque c'est le débat à l'origine de ce thread :p)


Personnellement je crois qu'il existe aujourd'hui un vide dans le paysage des licences (quoique je n'en connaisse pas beaucoup, peut être est-ce déjà existant, ou qu'on peut obtenir ça en couplant des licences) : une licence qui différencie les droits en fonction du type de support et de sa reproductibilité.

Un mec qui peint un tableau, il devrait pouvoir partager avec une licence libre qui autorise la reproduction du tableau en tant qu'objet sans restriction( c'est à dire que le travail de reproduction, qui est un vrai travail, peut être rémunéré), et de libre diffusion pour des copies serviles (photocopie :p), qui permet d'éviter ce que beaucoup craignent, une spoliation du travail de l'esprit préalable à la première formalisation d'un concept.
Shimegi

Messages : 524
Géo : Tours

Mar 16 Sep, 2008 13:34

Effectivement, le support joue un rôle primordial dans le choix de la licence.

Cela dit, je ne voit pas bien la rapport avec la clause NC.

Plagiat : clause BY.
"Vol" : clause SA.

Les autres clauses sortent du concept de libre. En effet, leur asymétricité empêche le coté partage du libre. On retombe dans une logique de fournisseur => consommateur.

Non, un artiste que produit sous licence libre n'est pas condamné a ne rien toucher. un musicien a des concerts, un peintre peut vendre ses tableau (ici, on rejoint la problématique du support non reproductibilité sans travail).

Si l'on considère la clause NC dans le sens de Mikelenain, on est en droit de se poser une question qui va plus loin : en quoi une utilisation commerciale est mal ? Comme le soulignent ici pas mal de gens, il faut bien manger.
deadalnix

Messages : 864

Mar 16 Sep, 2008 17:00

le rapport est que l'idée "je ne veux pas qu'on gagne de l'argent sur mon travail" qui motive la plupart des gens, je pense, lorqu'ils choisissent la clause NC ne se justifie pas pour un produit non reproductible, et se discute sur un produit reproductible. Mais je suis un peu bavard c'est une problématique que je creuse pas mal ces temps ci :p
Shimegi

Messages : 524
Géo : Tours

Mar 16 Sep, 2008 17:09

deadalnix a écrit:Si l'on considère la clause NC dans le sens de Mikelenain, on est en droit de se poser une question qui va plus loin : en quoi une utilisation commerciale est mal ? Comme le soulignent ici pas mal de gens, il faut bien manger.


La problématique est inhérente à tout le libre, et le travail d'un développeur sur un logiciel (dont on sait qu'en pratique il ne pourra pas être vendu à cause de la diffusion sans limites possibles de copies gratuites) n'a pas moins de valeur, n'a pas pris moins de temps ni de ressources que le travail d'un artiste graphique ou sonore.

Le choix d'une licence libre est donc très politisé, on sait dès le départ que le travail fourni ne sera pas échangé contre de l'argent, et on s'extraie de facto de la logique "travail <=> rémunération financière" qui est pourtant un des pilliers de nos sociétés.

Puisque le libre existe et est stable c'est qu'il y a des rémunérations non financières qui sont satisfaisantes pour les auteurs. Appellez ça vivre d'amour et d'eau fraiche si vous voulez.

Tout n'est pas noir/blanc. Dans la clause NC le fait que l'échange commercial soit proscrit me parait intéressant et pas forcément une contrainte plus importante qu'un copyleft fort imposant strictement la même licence.
Mais effectivement le fait que l'auteur initial puisse ne pas se soumettre à cette contrainte favorise beaucoup trop la dérive de type protectioniste...
kinovea.org
joan

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Mar 16 Sep, 2008 17:56

reprenons le pouet pouet man, on le publie en LAL

il se retrouve sur un mug .... tu crois que tu auras accès à :
- joindre aux copies cette licence à l'identique ou indiquer précisément où se trouve la licence ;
- indiquer au destinataire le nom de chaque auteur des originaux, y compris le vôtre si vous avez modifié l'oeuvre ;
- indiquer au destinataire où il pourrait avoir accès aux originaux (initiaux et/ou conséquents).

et maintenant va prouver devant les tribunaux que dans le magasin tu n'as pas acces à ça .... ben oui tu vas devoir prendre une huissier qui va constater sur place > du fric de ta poche
en NC c'est cash le gars n'a pas le droit sans ton autorisation ....

donc en gros en copyleft (LAL) ton travail ne sera jamais reconnu s'il est repris par quelqu'un à part si tu payes un huissier pour acter que l'objet en question ne correspond pas à la licence susdite.
Pour moi le copyleft = tu laisses dans la nature un "objet" de façon anonyme, tu peux aussi bien laisser un objet dans la rue c'est la même chose.
Cette licence partage okay, mais ne reconnaît pas l'auteur car si tu veux la faire appliquer elle coûte de l'argent à l'auteur.

elle est donc peut être pratique pour certains travaux mais certainement pas pour TOUS les travaux que tu fais. La création n'est pas le savoir où si tu partage une idée avec quelqu'un les 2 personnes possèdes l'idée. Essayer de l'appliquer à tous et dans toutes les conditions dans un monde capitaliste est utopique.

Lorsque tu vas à un concert tu ne repars pas avec la musique du concert ou alors t'achètes le cd auto produit du grp avec leurs petits moyens pour les soutenir. Pourtant le grp a partagé avec toi toute sa création. préferas tu aller télécharger sur le net leur album en copyleft ou les soutenir si tu as aimé en achetant leur CD ?

Pose toi la question en te mettant à la place de l'auteur et non plus seulement à la place du consommateur.

Il faut savoir doser et actuellement la licence CC a justement l'avantage de sa souplesse dans ce domaine.

Non, un artiste que produit sous licence libre n'est pas condamné a ne rien toucher. un musicien a des concerts, un peintre peut vendre ses tableau (ici, on rejoint la problématique du support non reproductibilité sans travail).


c'est surtout l'objet unique pas la non reproductibilité sans travail.(quand tu copie de la musique en MP3/OGG tu le fais sur un support disk/cle usb/baladeur.... qui a coûté du travail et qui à un coup et une destination écouter l'œuvre que tu vas copier).

quand je travaille c'est toujours du sur mesure et c'est ce que le client paye et surtout ce qu'il veut(contrat en cession de droit d'utilisation/reproduction exclusive ). Quand je fais un motif de T shirt pour supporter la mozilla fondation europe je le fais en copyleft.
Comme quoi tu vois les 2 sont du sur mesure et les 2 sont sous contrats de licence différents les 2 sont reproductibles les 2 sont de la création.

Donc un auteur peut très bien bosser en utilisant plusieurs licences pour différents objectifs. Je pense qu'il faut que tu intègres le but dans ton raisonnement et non pas seulement l'objet deadalnix.
Faire de l'argent avec ce que tu crées n'est pas "MAL" (moi ça me permet de vivre) si je ne le faisais qu'en copyleft, je serai à la rue.

Ce que je ne comprends pas bien dans ta démarche du TOUT libre deadalnix c'est que :
tu as acheté un ordinateur, tu achètes de la bande passante et tu trouves cela normal, mais tu ne veux pas acheter une œuvre.... en quoi ces choses sont elles si différentes ? la reproductibilité ? je t'ai montré que ce n'était pas un argument valable.

les œuvres de l'esprit (musique/film/graphisme/photo/etc...) n'ont donc aucun prix ? elles sont reproductibles à faible coût donc doivent ne rien coûter ? Laisse donc les auteurs choisir leur licence pour la destination de leur œuvre.

PS : tu vis dans une société fournisseur => consommateur comme les auteurs, laisse les essayer de vivre de leur travail. Tout ne peut pas être gratuit du moins dans la société actuelle.
wiko

Messages : 728

Mar 16 Sep, 2008 19:07

deadalnix a écrit:Si l'on considère la clause NC dans le sens de Mikelenain, on est en droit de se poser une question qui va plus loin : en quoi une utilisation commerciale est mal ? Comme le soulignent ici pas mal de gens, il faut bien manger.

Le problème n'est pas de manger ou pas, mais de faire du fric. Ce qui me dérange, c'est les gens qui se font des c******* en or sur le dos des autres.

Je prends un exemple avec toi et moi. Imaginons que je sois multi-milliardaire et que tu sois un artiste peintre. Tu fais un tableau mais tu n'arrives pas à le vendre (disons dans des galeries fréquentées par des nobles et tout).
Je le prends pour pas cher - quelques dizaines d'euros - (loi du marché, personne d'autre en voulait) sous licence sans NC.
J'en fais des photocop pour faire du papier-peint et j'en vends pour pleins de milliards.

Ne trouverais-tu pas dérangeant que je me fasse des ronds pas possible à partir d'un travail que tu as fait alors que toi t'as eu nada ?





En même temps, j'ai la modestie de ne pas penser que ce que je créérais pourrait intéresser qui que ce soit pour aller dans un produit commercial ^^
En plus, j'aimais bien l'époque où un artiste arrivait chez un gens riche (faute volontaire, c'est mon jargon à moi ^^) et était nourri et logé à volonté contre un petit concert. Quand ce n'était pas l'argent qui dominait le monde (oui, je suis un grand utopiste ^^ ).
Je rajoute un truc : je fais souvent des cours part' gratos et pourtant je suis loin de rouler sur l'or. J'ai ce qu'il faut pour me nourrir, me loger et le reste (chauffage et tout), je n'en demande pas plus ;)
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Mer 17 Sep, 2008 08:05

wiko a écrit:reprenons le pouet pouet man, on le publie en LAL

il se retrouve sur un mug .... tu crois que tu auras accès à :
- joindre aux copies cette licence à l'identique ou indiquer précisément où se trouve la licence ;
- indiquer au destinataire le nom de chaque auteur des originaux, y compris le vôtre si vous avez modifié l'oeuvre ;
- indiquer au destinataire où il pourrait avoir accès aux originaux (initiaux et/ou conséquents).

et maintenant va prouver devant les tribunaux que dans le magasin tu n'as pas acces à ça .... ben oui tu vas devoir prendre une huissier qui va constater sur place > du fric de ta poche
en NC c'est cash le gars n'a pas le droit sans ton autorisation ....



Ceci est également vrai pour une violation d'un copyright "all right reserved", la NC ne change rien à l'affaire. La licence peut être écrite sous le mug par exemple, en général pour les licences il y a toujours un petit (C) et le nom de l'auteur.
Shimegi

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