Bonjour à tous,
@
ComputingFroggy :
Ne jugez pas trop vite mon propre point de vue sur XML... Il me semble toujours être LA solution à mes propres problématiques (complexes). Je ne pense pas que j’aurais écris
ceci (à l’attention des très novices de mon propre milieu, ignare en informatique) ou
cela (presque comme «
mémoire » parce que c’est un travail que je laisse reposer un temps) si je n’avais pas quelque goût pour la chose... XML se décline aussi en SVG, ce qui, pour moi, prendra peut-être un jour une forme à peine ébauchée
ici.
Je veux dire que c’est comme de tout, il ne faut pas généraliser. La lecture du code de
PatrikGC apprend que des solutions plus simples que XML sont plus adaptés dans certains cas, notamment quand on a à faire à de toutes petites bases de données tabulaires. Oublier les fichiers texte, c’est comme dire que «
Json, c’est de la merde ». Mais vous n’allez pas coder vos artefacts
Jpeg en
Json que je sache ? Donc, aussi verbeux que ce nous savons que l’est XML, il reste qu’il est quand même réputé
pérenne et ça, du point de vue d’un restaurateur de
monuments historiques, je vous prie de croire que c’est un argument de taille. Mais dans certains cas, par exemple temporaires, il sera plus clair, plus facile, moins verbeux, évident, plus pérenne, de ne pas s’embarrasser de DTD (ou de schémas...) pour aller au plus court : un fichier texte. En linguistique on parle de «
langues véhiculaires » ou de «
lingua franca ». Il me semble important d’être pourvu de cette culture lors du développement de code ; cela multiplie les solutions face à la variété des problématiques.
Votre solution est plus complexe et, surtout, dans un état qui n’a évidemment rien à voir avec l’ébauche de
PatrikGC. Ceci dit, le code est tellement clair que ça me donne aussi envie d’aller plus loin avec. En d’autres termes, cela tombe pile-poil, pour moi, puisque je dois prochainement remettre en ligne un site ARCHI basique qui est pour l’instant géré avec le très grassouillet
Joomla. Or votre solution a la légèreté d’une plume, et l’élégance des anges. Votre code est extrêmement lisible, même pour un amateur dans mon genre. C’est commenté, c’est indenté... Que du bonheur... J’y piquerais d’ailleurs bien quelques bribes de concepts, notamment dans la façon dont vous gérez les langues... En plus, dans le cadre d’un site administré malgré tout à la façon CMS, le déplacer d’une machine à l’autre est un vrai plaisir puisqu’on a pas à se préoccuper de sauvegarder la base de données, ou en natif via pages PHP, ou en direct avec un
phpMyAdmin quelconque.
La
page de l’annuaire de Framasoft présentant votre bébé est symptomatique par ses commentaires élogieux. Petit bémol : le fichier téléchargé («
pluxml-latest.zip ») fait presque 300 ko et, une fois décompressé, 1 Mo. Aussi la phrase : «
Toute légère (120 ko), elle gère, bien sûr, les commentaires et la syndication et n’a pas besoin de MySQL [...] » me semble fausse et il faudrait, je crois, corriger. De même, au-dessus du titre, il faudrait quand même rajouter PHP dans la ligne «
Code.....: », parce que XML seul, c’est quand même un poil balourd en matière d’action...
Passés les quelques tests faits sur mon propre serveur, j’allais vous poser la question de savoir s’il était possible de rajouter un éditeur
wysiwyg de type
CKEditor. Mais j’ai fait une recherche préalable
sur votre wiki qui est dans le même jus de lumière que le reste... De là, j’ai parcouru les principaux
plugins qui, évidemment, permettent de se faire son CMS à la carte en restant au plus léger. C’est terrifiant la simplicité ; continuez !
Donc pour moi, la chose est adoptée ; mais encore une fois, vous n’êtes pas dans la même optique que
PatrikGC. Par son extrême dénuement, elle possède aussi un intérêt didactique qui se perdra d’ailleurs s’il fait évoluer son code de manière conséquente. Aussi lisibles et biens écrits que soient vos fichiers, il reste qu’ils forment aujourd’hui une
idée aboutie alors que le code de
PatrikGC offre encore toutes les perspectives possibles dans le domaine qu’il revendique. C’est l’avantage des ébauches : même ineffectives, elles nous laissent, parfois, plus rêver...